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  1. #1
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    [TOP SOFOOT] G4 - De Cyril Rool (666) à James Rodriguez (587)

    Les 100 meilleurs joueurs du Championnat de France (ASM only) - groupe 4

    #587 - James Rodriguez
    #598 - Patrick Müller
    #605 - Stéphane Carnot
    #611 - Dado Pršo
    #619 - Félix Lacuesta
    #631 - Christian Pérez
    #642 - Tony Kurbos
    #653 - Dominique Bijotat
    #654 - Philippe Anziani
    #666 - Cyril Rool

    #666 - Cyril Jeunechamp & Cyril Rool
    Auxerre (1997-2001), Bastia (2001-2003), Rennes (2003-2007), Nice (2007-2009), Montpellier (2009-2013) pour Jeunechamp.
    Bastia (1994-1998), Lens (1998-2001 puis 2002-2004), OM (2001 puis 2009-2010), Monaco (2001-2002), Bordeaux (2004-2005), Nice (2005-2009) pour Rool.


    Pendant plus de quinze ans, les Cyril ont envoyé du steak sur les terrains de Ligue 1. Pas moins de 21 cartons rouges pour Rool - Philippe Brinquin s'en souvient bien. 16 pour Jeunechamp, qui terrorisait aussi bien l'équipe adverse que les journalistes - José Barroso en a fait les frais. Les deux gaillards ont même partagé deux saisons au Gym, qui terminait alors à une probante huitième place en 2008, avant de confirmer en se classant neuvième l'année suivante. Diaboliques, mais précieux (et surtout adorables en dehors des terrains). Affublé de surnoms évocateurs comme « l'Antéchrist » ou « le boucher » , Rool a fait des étincelles dès ses débuts à Bastia. Ce qui l'a mené, entre autres, à Lens, avec qui il a disputé la Ligue des champions, à Nice, où il a hérité du brassard de capitaine, et à Marseille, où il est devenu champion de France et a côtoyé son évolution, Gabriel Heinze : « Il avait tout. À l’OM, il était un peu sur la fin, mais toujours impressionnant. Il marquait, il était dur sur l’homme, vicieux. Je me reconnaissais un petit peu en lui. » Rock'n Rool, quoi. Un peu comme Jeunechamp, qui n'a laissé personne indifférent d'Auxerre à Montpellier, en passant par Bastia, Rennes et Nice. « Un monstre » d’après Frédéric Mendy. « Aux tests physiques, il est toujours devant. Il fait le fatigué, mais personne ne le bat. Même à 36 ans. » Il a apporté sa touche au chef-d'œuvre réalisé par le MHSC en 2011-2012. Sa carrière terminée, il se confiait dans nos colonnes, en glissant une délicieuse anecdote sur ses matchs contre le FC Metz : « Avec Fred Meyrieu, à chaque fois, ça frottait. Un jour, j’ai essayé de prendre le ballon, lui il chambrait, et j’y suis allé vraiment fort. Même par terre, je suis allé le voir et je lui ai dit : "Tiens, celui-là tu l’as bien mérité !" Avant, on pouvait faire ça. C’était mieux avant. » Assurément.
    Label "El-Kl0chard". Pour ceux qui n'échangeraient pas un bac de lessive Omo contre deux d'Ariel.

  2. #2
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    #654 - Philippe Anziani
    FC Sochaux-Montbéliard (1979-1984),
    Monaco (1984-1986), Nantes (1986-1988), Matra Racing (1988-1989), Toulon (1989-1993), Martigues (1993-1994)


    Philippe Anziani a disputé quatre saisons sous les couleurs du Sporting Club de Toulon ; mais s'il sera associé au club varois dans les bouquins d'histoire, c'est surtout pour ce qu'il a fait, le 14 avril 1984, alors qu'il portait encore la liquette du FC Sochaux-Montbéliard : un quintuplé dans les dents de Pierre Vizcaino, lors d'un terrible 8-2 à Bonal. Anziani, c'est aussi 484 apparitions en D1 pour près de 100 réalisations, une carrière internationale entamée dès ses 19 ans, une suspension pour dopage au Di-Antalvic en 1989, une Coupe de France soulevée en 1985 avec l'AS Monaco, mais surtout une trace indélébile laissée chez les Lionceaux, avec qui il a connu une deuxième place de D1 et une demi-finale de Coupe de l'UEFA : « C'est le club de mon cœur, le maillot jaune et bleu, le lion sur le maillot, racontait-il pour France Bleu Loire Océan. J'ai débuté avec cette équipe à Strasbourg alors que je n'avais même pas 18 ans. Un an avant, j'étais au Maroc, à Casablanca, où j'ai passé mon enfance, je jouais dans la rue. Heureusement que mon oncle qui entraînait Meaux en division d'honneur m'a fait venir, sinon, je pense que je serais resté au Maroc et je ne sais pas si j'aurais fait une carrière professionnelle. Il avait décelé quelque chose chez moi. » Et qu'importe que son passage à Nantes n'ait pas été sa période la plus faste : « À Nantes, c'était le football, tout simplement. [...] Si messieurs Suadeau et Budzynski m'ont fait venir, je pense que c'est parce que je partageais cette vision, ces valeurs et que je correspondais à ce qu'ils attendaient d'un footballeur, qu'il soit sensible au jeu, qu'il le sente et qu'il soit technique. C'était très important pour moi. Et même si les deux saisons où j'étais au club n'ont pas été exceptionnelles, par moments, pendant deux ou trois mois, on jouait un football exceptionnel et c'est là où je me suis le plus affirmé en tant que joueur, que j'ai pris le plus de plaisir. »
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  3. #3
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    #653 - Dominique Bijotat
    Monaco (1979-1987 puis 1988-1991), Bordeaux (1987-1988)


    Le temps d'une saison, il se pare du scapulaire. Mais il ne faut pas s'y méprendre : c'est bien sous la tunique rouge et blanc marquée d'une diagonale que Dominique Bijotat passe la quasi-totalité de sa carrière en première division. Pur produit du centre de formation monégasque, ce milieu défensif besogneux et techniquement doué balle au pied est lancé dans le grand bain par Gérard Banide. Il prend progressivement ses repères et finit par décrocher ses galons de titulaire, au sein d'une ASM souvent étincelante. Outre le titre olympique glané avec l'équipe de France en 1984, le natif de Chassignolles garnit son palmarès avec notamment un titre de champion de France (1982) et une Coupe de France (1985). Pas de quoi, cependant, s'enflammer et crâner sur le Rocher. « J'ai peut-être joué deux ou trois fois au casino, mais toujours avec un capital défini à l'avance, promet-il à La Semaine. Ma seule petite folie a été une voiture, une Golf GTI de plusieurs couleurs. Je ne pouvais pas faire n'importe quoi. Je ne jouais pas seulement pour un club, mais pour une Principauté, un prince et une princesse. » Le sens du devoir.
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  4. #4
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    #642 - Toni Kurbos
    Metz (1982-1985), Nice (1987-1988 puis 1989-1990),
    Monaco (1988)


    L'une des plus fines gâchettes de l'Est. Débarqué à Metz au début des années 1980, Tony Kurbos forme d'abord un duo de feu avec Merry Krimau, les deux hommes bouclant la saison 1982-1983 avec respectivement 17 et 23 buts au compteur. Deux ans plus tard, l'attaquant moustachu fait la paire avec Jules Bocandé, là aussi avec succès. Entre-temps, il marque durablement la D1 de son empreinte en signant un sextuplé face à Nîmes, en avril 1984 (7-3). Un exploit que personne n'a réédité depuis. « Ce sextuplé est longtemps resté inaperçu, raconte à So Foot celui qui, bien sûr, est également connu pour avoir inscrit un triplé au Camp Nou et ainsi éliminé le FC Barcelone de la C2. C'est un journaliste de L'Équipe qui s'est aperçu que personne d'autre n'avait marqué six buts lors d'une même rencontre dans une première division en Europe après la Seconde Guerre mondiale. » Et ça, on n'est pas près de l'oublier.
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  5. #5
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    #631 - Christian Pérez
    Nîmes (1979-1981 puis 1983-1984), Montpellier (1987-1988), PSG (1988-1992),
    Monaco (1992-1994), Lille (1993-1994)


    Christian Pérez s'est fait les dents chez les Crocos, à Nîmes. Le cuir épais, « Pépé » est parti chasser chez le voisin, Montpellier. Banco : tout juste promu, le MHSC fait sensation en s'invitant sur le podium. Avec un Pérez de gala, meilleur passeur et deuxième meilleur buteur de son équipe. « Je fais une seule saison, mais elle était belle, rembobinait-il en 2016. Mais ce n’était pas simple, il y avait beaucoup de concurrence, et je devais me battre à chaque fois. Et à la fin de saison, grosse surprise : on me demande de partir. Le club voulait me transférer à Metz, mais j’ai refusé. Et puis monsieur Borelli m’a appelé. Il souhaitait me voir faire un essai à Paris. Je lui ai dit d’accord tout de suite. Au bout de 30 minutes d’essai, Tomislav Ivić a dit au président qu’il m’engageait. Paris, ça ne se refuse pas. J’ai foncé tête baissée et avec le recul, j’ai eu raison. » Dans la capitale, Pérez passe tout près du titre en 1989 et devient international. Il est même le meilleur buteur rouge et bleu en 1991-1992, devant Amara Simba et Daniel Bravo. Revenu à Nîmes au crépuscule de sa carrière, l'ailier de poche y ouvre une pizzeria, qu'il vendra l'année suivante. « J'ai dû travailler pour remplacer les charlots que j'avais engagés. C'était pas facile avec les horaires, d'autant que je jouais encore » , expliquait-il à France Football. Toujours prêt à mettre la main à la pâte.
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  6. #6
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    #619 - Félix Lacuesta
    Saint-Étienne (1974-1977), Bastia (1977-1979 puis 1980-1981 et 1985-1986), Bordeaux (1979-1980), Strasbourg (1981-1984),
    Monaco (1986), Lille (1986-1987), Cannes (1987-1990)


    Champion de France en 1975 et en 1976, mais dans la peau d'un remplaçant, avec l'AS Saint-Étienne, Felix Lacuesta prend véritablement son envol à Bastia. Membre du grand Sporting finaliste de la Coupe UEFA en 1978 et vainqueur de la Coupe de France en 1981, le milieu de terrain tutoie les sommets et se crée des souvenirs inoubliables. « Avec Saint-Étienne, le Sporting, c'est mon club de cœur. Quand je viens ici (en Corse), j'essaie toujours de dire à Paul Marchioni, Charles Orlanducci, Fanfan Felix, de faire un petit repas entre amis et on parle évidemment de notre affaire d'il y a 40 ans. Ce sont des gens exceptionnels, je les aimerai toute ma vie » , confiait le joueur aux plus de 300 matchs de D1 à Radio Sporting en 2020. « Félix Lacuesta préfigure le n°8 moderne, capable aussi bien de défendre que d'attaquer » , décrit même le site Racing Stub. L'Île de Beauté ne pouvait que l'apprécier.
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  7. #7
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    #611 - Dado Pršo
    Monaco (1999-2004)


    Dado Pršo est avant tout une queue de cheval, une gueule, un style. La tige de Zadar, 190 centimètres, est aussi une histoire : celle d’un type à qui on a d’abord diagnostiqué une faiblesse cardiaque, qui a ensuite fui la guerre et qui aurait pu commencer son histoire avec la France au FC Nantes. C’est finalement à Rouen que son affaire française a commencé, Pršo devenant une tronche héroïque à Robert-Diochon, mais aussi en ville, où, à l’aide d’une vie nocturne agitée et d'un paquet d’excès, le buteur fera péter la balance. « Sur une séance d’une heure et demie, il ne tient qu’une demi-heure » , lâchera à l’époque Daniel Zorzetto, son entraîneur en Seine-Maritime. Puis, Dado s’est repris en main, a rencontré une femme, a filé à Saint-Raphaël, a bossé comme un dingue et a tapé un jour dans l’œil de Gérard Banide lors d’un match face à la réserve de l’AS Monaco. Bingo : d’abord recruté pour faire le nombre, il fera un tour en Corse, à Ajaccio, et s’est fait, entre les pépins, sa petite histoire sur le Rocher - 45 buts en 146 matchs, dont un quadruplé face à La Corogne le jour de ses 29 ans - avant de s’offrir le contrat d’une vie chez les Rangers. Un roi, tout simplement.
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  8. #8
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    #605 - Stéphane Carnot
    Guingamp (1995-1997 puis 2000-2005),
    Monaco (1997-1998), Auxerre (1998-2000)


    Au début des années 1990, la France du football découvrait une équipe aussi rafraîchissante que surprenante : l'En Avant Guingamp. Dans ses rangs, la bourgade de 7000 habitants comptait plusieurs garçons du cru, dont Stéphane Carnot. Milieu de terrain travailleur, à défaut d'être techniquement surdoué, ce Breton pur souche réalise l'ensemble de sa formation au sein de l'EAG, en 1991. Une fidélité sans faille, récompensée par une historique accession en D1, pour la saison 1995-1996 (la première dans l'histoire du club). Le rêve absolu d'une écurie pas vraiment préparée à de tels enjeux, où ne se bousculent alors que de jeunes pousses, à l'image de Lionel Rouxel, Charles-Édouard Coridon, Stéphane Guivarc'h, « Coco » Michel ou Nicolas Laspalles. Dans ce collectif bien rodé, Carnot s'éclate, ratissant large dans l'entrejeu et se permettant quelques projections pour inscrire ses cinq buts de moyenne par saison.
    Il y découvrira également l'Europe, par le biais d'un duel d'anthologie en Coupe de l'UEFA face à l'Inter (défaite 0-3 à l'aller, et match nul de prestige au retour, à Giuseppe Meazza, 1-1). Séduit par le champion en titre Monaco à l'été 1997, l'enfant de Quimper se laisse tenter par cette chance d'une vie, le temps d'une saison. Vingt et une rencontres, un baptême du feu en Ligue des champions, avant de rallier Auxerre, sollicité par un Guy Roux alors en panne d'inspiration pour reconstruire son équipe : « Lorsque j'ai déclaré vouloir quitter Monaco, Guy Roux est intervenu de nulle part et s'est montré très pressant et persuasif : j'ai dû recevoir entre 30 et 40 appels téléphoniques de la fin mars au 9 mai, fin de la saison » , confiait l'intéressé au Télégramme. Entre 1998 et 2000, Carnot alterne cependant le moyen et le médiocre, culminant à 65 rencontres, sans pour autant retrouver son niveau guingampais. Libéré par l'AJA, il décide alors de retourner là où tout a commencé, pour mieux se remettre les crampons à l'endroit. Et grand bien lui en a pris. Pour son deuxième acte à Guingamp, le meneur de jeu se sublime encore, permettant au club d'arracher une historique septième place au terme de l'exercice 2002-2003 (à ce jour le plus haut total de l'EAG) et, à titre individuel, de devenir le meilleur artificier rouge et noir en Ligue 1, avec 29 buts. Stéphane, toujours de l'avant.
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  9. #9
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    #598 - Patrick Müller
    Lyon (2000-2004 puis 2006-2008),
    Monaco (2008-2009)


    Le garde suisse de l'OL pendant les années dorées, c'est lui. Patrick Müller n'est certes pas le défenseur le plus rapide de l'histoire de la Ligue 1 - « 99% des attaquant étaient plus rapides que moi » , avoue-t-il à L'Équipe. Tacler ? Ce n'est pas non plus son truc, à en croire une interview accordée à So Foot : « Je n'étais pas un défenseur qui avait l'habitude de beaucoup tacler. L'autre jour, je discutais avec Sonny Anderson et Greg Coupet et ils m'ont dit : "De toute façon, toi, le seul tacle que t'as mis dans ta vie, c'était au Stade de France, en finale de la Coupe de la Ligue, pour marquer le but du 2-1." Et ce n'est pas faux du tout. » Qu'importe, puisque le Genevois compense avec sa science du placement et la qualité de ses passes claquées. Très utilisé pendant son premier mandat entre Rhône et Saône, davantage contrarié par les blessures lors du second, l'international helvète s'offre quand même six titres de champion de France. Plutôt solide.
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  10. #10
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    #587 - James Rodriguez
    Monaco (2013-2014)


    Rayonnant à Porto, James Rodríguez s'installe en Principauté à l'été 2013, à tout juste 22 ans. L'AS Monaco se déleste de 45 millions d’euros, faisant alors de sa recrue le joueur le plus cher de l’histoire de la Ligue 1. Un investissement largement rentabilisé. El Bandido prend les clefs du camion et appuie sur le champignon : meilleur passeur du championnat, le Colombien score aussi neuf buts, dont deux superbes coups francs, à Furiani et contre Rennes. Malgré la blessure de Falcao, le promu monégasque termine deuxième avec 80 points, un record pour un dauphin. Nommé pour le titre de joueur de l'année face à Zlatan Ibrahimovic, Thiago Silva et Thiago Motta, James est le seul à contester la domination parisienne aux Trophées UNFP. Une saison au presque parfait, une Coupe du monde caliente et le numéro 10 quitte déjà l'Hexagone, non sans laisser un joli chèque à l'ASM. Court mais intense.
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