C'était pas ouf, loin de là, mais on a encore notre destin entre nos mains.
On sent que c'est difficile, qu'on a moins de maîtrise, qu'on souffre potentiellement à chaque possession adverse, mais on est toujours là et c'est bien ça qui compte.
Bon, en finale ce sera un autre délire mais n'y pensons pas tout de suite.