A noter que sur l'ensemble de la rencontre, nous avons une meilleure possession (52%) ce qui est une vraie nouveauté dans l'histoire des Monaco-PSG.
Même si ce chiffre est toujours à nuancer, contre un tel adversaire ça reste révélateur d'un vrai changement dans notre jeu.
On a pressé haut, et rares sont les équipes qui prennent ce risque face à Paris.
Et on a récupéré énormément de ballons ainsi, ne leur laissant pas le loisir de construire autant qu'ils le font habituellement.
Evidemment, c'est plus facile quand Verratti n'est pas là. Il n'aurait peut-être pas été viable de jouer ainsi avec l'Italien ou Marquinhos dans l'entre-jeu. Mais qu'importe, c'était Rafinha et Danilo qui, bien que ne disposant pas de la même justesse et qualité de passe, ne sont pas des peintres non plus et les résultats sont au bout.
C'est une vraie performance, surtout celle d'y avoir cru et de ne pas avoir sombré alors qu'on a frôlé le KO technique en première période.