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Discussion: [Topic Niko KOVAC]

  1. #971
    Buteur providentiel
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    Interview de Niko à paraître dans le nouveau So Foot qui sortira jeudi en kiosques.

    Hâte de lire ça.

  2. #972
    Buteur providentiel Avatar de Lowry
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    Interview Kovac dans So Foot

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    Dernière modification par Lowry ; 01/04/2021 à 09h36.

  3. #973
    Favori des médias Avatar de Kouloukoukou
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    Merci, très intéressant comme entretien. Dommage que le journaliste ne rebondisse pas plus à des réponses de Kovac.

  4. #974
    18ème homme
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    Merci pour le scan. Plaisant à lire.

  5. #975
    Buteur providentiel Avatar de Pleneuf
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    Merci pour le partage
    Ha llegado el tiempo del regresso del Muneco.

  6. #976
    18ème homme Avatar de Huillam
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    Quelqu'un pourrait-il nous permettre la lecture de cet article SVP ? Merci

  7. #977
    Hall of Fame du Vizu Avatar de Tanplan
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    Niko Kovac: « Je ne suis pas Louis XIV, ''l'État, c'est moi'' »
    Arrivé à Monaco l'été dernier, le Croate Niko Kovac a replacé l'équipe du Rocher sur le devant de la scène. L'ancien entraîneur du Bayern Munich a mis sa patte de formateur sur la deuxième plus jeune équipe du Big 5 européen. Sur la base de valeurs fortes. Et en insistant sur le bon fonctionnement du club.
    Anne-Sophie Bourdet, à Monaco
    02 avril 2021 à 12h00
    Joueur, Niko Kovac était étiqueté « rugueux », pas vraiment du genre à cueillir des pâquerettes sur la pelouse pour les offrir à l'adversaire, plutôt à les semer sur sa dépouille. Ce samedi-là, au stade Louis-II, l'entraîneur de l'AS Monaco a laissé son âpreté légendaire au vestiaire, et peut-être même aux archives.

    Il sourit beaucoup. Il plaisante souvent. Il ponctue régulièrement l'interview, avec une fierté presque enfantine, de mots de français à propos desquels il guette une approbation non plus de journaliste, mais de professeur. « Vous savez, j'ai placardé une carte de France dans mon bureau et j'apprends où se trouvent les villes. »

    Avant d'en être l'entraîneur en 2018, Niko Kovac a joué au Bayern entre 2001 et 2003 (ici en Ligue des champions en 2002 face à Manchester United et Van Nistelrooy). (B. Papon/L'Équipe)
    Avant d'en être l'entraîneur en 2018, Niko Kovac a joué au Bayern entre 2001 et 2003 (ici en Ligue des champions en 2002 face à Manchester United et Van Nistelrooy). (B. Papon/L'Équipe)
    À bientôt 50 ans, Niko Kovac revendique encore l'apprentissage permanent mais au quotidien, l'ancien international croate (83 sélections) enseigne depuis l'été dernier le football à la deuxième plus jeune équipe des cinq grands Championnats européens (derrière l'AC Milan). Un changement d'horizon apprécié après les mois plus tumultueux (avril 2018-novembre 2019) à gérer les grands noms du Bayern Munich et leurs ego proportionnels, une période sur laquelle il n'aime guère s'épancher.

    Le voilà nettement plus disert sur le rouge et blanc monégasque dont il s'emploie, pour le moment avec succès, à redorer le blason. Quatrième de L1 à quatre points de la première place, deuxième meilleure attaque du Championnat, toujours en lice en Coupe de France, Monaco impressionne cette saison et Kovac a des choses à en dire. Toujours guerrier dans le mental, mais nettement plus princier dans le style.

    « J'ai toujours aimé le combat, c'est dans mon ADN », dit Niko Kovac (J. Faure/L'Équipe)
    « J'ai toujours aimé le combat, c'est dans mon ADN », dit Niko Kovac (J. Faure/L'Équipe)
    « Pour comprendre Niko Kovac, il faut déjà s'arrêter à la signification de ce nom en croate...
    Kovac est un des noms les plus répandus en Croatie, il signifie littéralement « forgeron ». Cela me caractérise bien en effet, je suis un travailleur, un dur au mal. J'étais un laborieux quand j'étais joueur (près de 500 matches pro au poste de milieu défensif, essentiellement en Allemagne, au Hertha Berlin et au Bayern notamment). Je suis un laborieux comme coach et aussi en tant qu'individu. Toujours travailler très dur (en français). Je suis né dans la banlieue ouest de Berlin en 1971, après que mes parents ont migré en Allemagne. J'ai grandi dans un quartier ouvrier de la ville, c'est en moi. Quand vous arrivez de Croatie, sans rien connaître de la langue ni du pays, il faut travailler dur pour faire votre place dans la société allemande. J'ai toujours aimé le combat, c'est dans mon ADN, j'ai 49 ans et je continue à me battre.

    Comment transmettre ces valeurs aux jeunes joueurs d'aujourd'hui ?
    En argumentant face à eux. En prenant des exemples. Bien sûr que l'époque a changé, mais on ne peut rien atteindre dans la vie sans travailler dur pour l'obtenir. L'ambition sans le travail, ça ne marche pas, ou peut-être une fois sur dix. Si vous voulez vous maintenir à un certain niveau, il n'y a que l'exigence quotidienne qui vaille, vous vous ferez dépasser par les autres, sinon. J'essaie d'expliquer aux joueurs à quel point c'est nécessaire, pas uniquement à Monaco, mais aussi dans les autres grands championnats, que ces jeunes footballeurs ont souvent envie de rejoindre. Parfois, on doit les pousser, mais en général, ils ont envie de progresser.

    « L'ambition sans le travail, ça ne marche pas, ou peut-être une fois sur dix »


    Le coach de Strasbourg, Thierry Laurey, nous disait qu'il était surpris de découvrir à l'entraînement que ses jeunes joueurs n'avaient souvent pas regardé le match de Ligue des champions de la veille...
    Je suis d'accord. Quand, quelques jours avant notre match face à Nice en Coupe de France (2-0), je demande : ''Vous avez regardé Nice-Nîmes ?'', silence dans le vestiaire. Cela étant dit, le problème me semble plus général : les joueurs sont tellement sollicités de tous les côtés... On doit donc se voir souvent et leur montrer tout de l'adversaire, le jeu avec ballon, le jeu sans ballon. C'est leur métier, je préférerais qu'ils regardent d'eux-mêmes les matches, bien sûr certains le font, mais la plupart se sentent faciles et attendent qu'on vienne à eux. C'est notre époque, je l'accepte et, en tant que coach, je dois leur fournir toutes les données clé en main.

    À Munich, il paraît que l'une des premières choses que vous avez faites était d'apprendre les noms des joueurs du centre de formation.
    Et de l'équipe B. Quand vous travaillez dans un club comme le Bayern, les internationaux reviennent tard des rassemblements et on avait besoin de monde pour les oppositions d'entraînement. Connaître leur nom est la base du respect. J'ai essayé de faire pareil ici, même si en français ce n'était pas aussi facile pour moi. Disons qu'il m'a fallu deux semaines pour les avoir en tête, même les surnoms (rires) !

    Est-il plus difficile de réussir au Bayern qu'à Monaco ?
    Mais c'est quoi, la réussite ? On peut l'interpréter de différentes manières. Ici, c'est d'être en Europe à nouveau la saison prochaine, former de jeunes joueurs et se battre pour remporter des titres. À Munich, c'est différent. C'est le succès à la plus haute échelle. Là-bas, il s'agit plus de gagner des titres que de former des jeunes. Quoique le Covid-19 rebat les cartes : l'argent manque désormais dans le football et tout le monde essaie d'avoir les salaires les plus bas et les jeunes les plus talentueux. Quand j'y étais, le Bayern devait gagner, un point c'est tout.

    « C'était une bonne décision d'aller entraîner le Bayern, car j'ai appris beaucoup »


    On lit partout que le Bayern est l'un des vestiaires les plus compliqués d'Europe...
    Mais c'est le cas dans le top 10 des équipes européennes, au sein de vestiaires qui regorgent d'expérience, de grands statuts d'internationaux et de contrats importants... Un grand joueur, ce n'est pas un problème, mais vingt-deux dans le vestiaire, concentrés sur eux-mêmes, avec l'envie de montrer leurs qualités et d'être titulaire... Ils les ont, les qualités, ce n'est pas le souci. Mais vous ne pouvez en aligner que onze, donc vous pouvez imaginer comment se sentent les onze autres.

    Le Bayern est-il arrivé trop tôt dans votre carrière ?
    C'est une bonne question... C'est quand, le bon moment ? On ne peut pas planifier sa vie professionnelle en ces termes. J'étais sélectionneur de l'équipe nationale (entre 2013 et 2015) à 42 ans, était-ce trop tôt ? Non. Si l'opportunité se présente, vous devez y aller. Quand j'étais joueur, j'ai bien compris que les occasions ne se présentaient pas deux fois. C'était une bonne décision d'aller entraîner le Bayern, car j'ai appris beaucoup - et l'expérience ne s'achète pas en boutique -, mais aussi parce qu'on a gagné trois titres (la Supercoupe d'Allemagne en 2018, la Bundesliga et la Coupe d'Allemagne en 2019), ce n'était pas si mal !

    « Le foot, c'est super mais ce n'est pas la chose la plus importante dans la vie »


    Quand vous êtes parti de Munich, vous avez pris un break. Vous en avez fait quoi ? J'ai profité de la vie. Durant huit mois, je me suis reposé, j'ai retrouvé ma famille, qui était restée en Autriche depuis mes années à Francfort (Kovac a vécu à Salzbourg comme joueur puis coach, il a été entraîneur de Francfort entre 2016 et 2018). J'ai fait de la randonnée, du golf, du vélo... La pression était très forte à la fin de mon mandat au Bayern, il fallait tout faire redescendre. Le foot, je ne le regardais que d'un oeil (rire). Je regardais les grandes affiches pour piquer des idées, progresser en tant que personne et coach. Et j'ai reçu des propositions que j'ai vite déclinées. Le foot, c'est super mais ce n'est pas la chose la plus importante dans la vie.

    Quand vous êtes arrivé à Monaco, vous avez déclaré ne pas venir ici pour le soleil. Vous n'êtes pas venu pour l'ambiance au stade non plus.
    Pour moi, le principal est d'avoir une structure saine au sein du club. Ici, il y a le président (Dmitri) Rybolovlev, il y a Oleg (Petrov, le vice-président) et Paul (Mitchell, directeur sportif), il n'y a pas trop d'interlocuteurs. Ce critère de réussite me paraît plus important qu'avoir une large communauté de supporters. Si vous regardez les grands clubs à succès, la cellule de décision est très étroite. Trois, quatre personnes maximum.

    « Un de mes coaches m'a dit ceci : il n'est pas important de tout savoir dans la vie, il est important de savoir qui sait »


    Un club avec une communauté moins importante de supporters n'est-il pas plus aisé à entraîner?J'entends que Monaco ne subit pas un environnement avec autant de pression qu'à Paris mais c'est Monaco, quand même ! Mais j'apprécie la situation car lorsqu'on a le temps de mettre en place un projet, on voit toujours les progrès arriver. De nos jours, les coaches n'ont plus de temps pour travailler. J'ai lu qu'en Allemagne, la durée de vie d'un coach est d'un an et un mois, ce n'est pas assez. Lille représente selon moi un très bon exemple de projet avec un coach installé depuis trois ans. Il n'y a pas de hasard, pas de pari fou. Juste du boulot.

    Sur quel point refusez-vous de transiger ?
    J'ai toujours un plan, une idée précise d'où je veux aller. Mais quand je vois quelque chose de mieux, je suis toujours open. J'ai connu de grands coaches dans ma carrière, dont un m'a dit ceci : il n'est pas important de tout savoir dans la vie, il est important de savoir qui sait. Tu as besoin d'avoir un staff dont chaque membre est le meilleur dans son domaine. Je ne suis pas Louis XIV, ''l'État, c'est moi !'' (en français) Et si je me trompe, je sais m'excuser auprès des joueurs, des supporters et même des journalistes. Regardez la conférence d'après-match contre Lyon (1-4, le 25 octobre), j'ai reconnu avoir pris une mauvaise décision. On est tous humains. Par contre, je ne transige pas sur le respect et l'attitude au travail. Tant que je vois quelqu'un avide progresser, tout va bien.

    « Chez moi, la structure est allemande, mais la passion est croate. Je peux être très passionné »


    Vous êtes très souriant, mais on dit que vos colères peuvent faire trembler les murs des vestiaires...
    Si je crie quand je suis en colère ? Oui (il rit). Mais vous ne pouvez pas être dans le fracas tout le temps. Quand votre équipe joue mal, vous pouvez aborder le problème de deux façons. Contre Strasbourg (0-1, le 3 mars), par exemple, je suis resté très calme dans le vestiaire. J'ai vu les gars essayer, mais ce n'était pas notre jour. J'ai été joueur, je sais ce que c'est. Un coach doit aussi savoir accepter ça. Mais quand un jour je vois qu'ils ont besoin de ça (il mime une baffe), je le fais. Ce sont de jeunes joueurs, vous savez. Tant que le succès est là, tout le monde vient les voir en disant : ''Tu dois aller jouer dans un top club, gagner plus d'argent...'' Je constate alors que le comportement change un peu, et je dois resserrer les vis.

    Vous avez dit durant votre carrière de joueur : ''Il faut parfois être des salauds.'' En tant que coach aussi ?
    Sur un terrain, il faut tenter tout ce qui est autorisé pour gagner le match, le succès reste la pièce angulaire du foot. Chez moi, la structure est allemande, mais la passion est croate. Je peux être très passionné.

    Après la victoire sur le PSG le 21 février (2-0), Niko Kovac a loué la très bonne performance tactique de ses joueurs. (A. Réau/L'Équipe)
    Après la victoire sur le PSG le 21 février (2-0), Niko Kovac a loué la très bonne performance tactique de ses joueurs. (A. Réau/L'Équipe)
    Si on veut comprendre votre philosophie de jeu, le match contre le PSG (2-0) offre-t-il un bon résumé ?
    Le premier (victoire 3-2 à domicile, le 20 novembre) ou le deuxième (victoire 2-0 au Parc, le 21 février) ? (Rires) Tactiquement, ce match retour était une très bonne performance. Mes joueurs étaient structurés, concentrés 90 minutes durant. Mais je veux aussi qu'on réussisse avec la possession de balle (les Monégasques n'avaient eu que 25 % de possession ce jour-là). On sait faire les deux : on est la deuxième attaque de Ligue 1 en ce moment, on veut être agressifs, attractifs, rapides, se créer des opportunités... Mais il faut un bon équilibre. Notre foot est moderne et dynamique. Physiquement, nous sommes une des meilleures formations de Ligue 1 et c'est la première marche pour jouer de la manière dont nous le souhaitons.

    En Allemagne, vous avez été étiqueté coach défensif. Cela vous gênait-il ?
    Je suis arrivé en mars (2016) à Francfort, le club flirtait avec la relégation. Qui aurait pu développer un football offensif dans cette situation ? Quand tu arrives dans un club, tu dois d'abord dresser l'état des lieux des joueurs : a-t-on de la rapidité, des gabarits, de la technique ? Et après, tu te demandes ce dont tu as besoin pour survivre. On a survécu, on a même disputé deux finales de Coupe. On n'était pas uniquement défensifs. J'ai gagné un titre à Francfort (la Coupe d'Allemagne en 2018), cela faisait trente ans que cela n'était plus arrivé. Mais j'aime défendre, c'est essentiel, on voit que les meilleures défenses de Ligue 1 coïncident avec le haut du classement. À Munich, j'ai pu jouer l'attaque aussi. Mais quand vous avez une voiture qui ne dépasse pas les 100 à l'heure, vous ne pourrez pas pousser jusqu'à 150. Tout ne relève pas uniquement du coach mais aussi de son matériel.

    « Le travail vous donne la chance de connaître le succès, mais ne vous donne aucune garantie de l'atteindre »


    Vous avez dit que le football n'était pas le plus important dans la vie. Mais vous y avez introduit ce qui compte le plus pour vous : la famille, avec votre frère Robert, qui est votre adjoint à Monaco.
    C'est vrai. Je place toujours en premier ma religion (chrétienne) et ma famille. Après viennent mes amis et ma profession. Le football devient un monde de plus en plus compliqué, il y a beaucoup d'argent en jeu, d'émotions, de vibrations négatives. Je fais partie intégrante de ce monde, OK, mais le foot n'est pas numéro 1 dans mon monde. Si je ne suis plus coach demain, merci pour tout, je retournerai chez moi.

    Et il dirait quoi, le gamin de la banlieue de Wedding, en voyant le parcours accompli ?
    Qu'il a réussi du positif. Qu'il est sorti de sa banlieue ouvrière, qu'il a grandi et qu'il est devenu cosmopolite. Et au final, qu'il a fait plus de bien que de mal. Bien sûr qu'on veut toujours plus mais à la fin, on pourrait en discuter des heures, cela reste toujours le travail. On en revient à mes racines. Le travail vous donne la chance de connaître le succès, mais ne vous donne aucune garantie de l'atteindre. »

  8. #978
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    En Allemagne, vous avez été étiqueté coach défensif. Cela vous gênait-il ?
    Je suis arrivé en mars (2016) à Francfort, le club flirtait avec la relégation. Qui aurait pu développer un football offensif dans cette situation ? Quand tu arrives dans un club, tu dois d'abord dresser l'état des lieux des joueurs : a-t-on de la rapidité, des gabarits, de la technique ? Et après, tu te demandes ce dont tu as besoin pour survivre.
    Au hasard...Thierry Henry

  9. #979
    Buteur providentiel Avatar de Lowry
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    Impressionné par la gestion du groupe de Niko.

    On sent la Deutsche Qualität

  10. #980
    18ème homme Avatar de Huillam
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    Merci Tanplan

    J'aime beaucoup sa vision du football et sa méthode, ainsi que sa psychologie

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