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  1. #51
    Super Sub Avatar de JoniNho
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    Citation Envoyé par fighting spirit Voir le message
    Ce qui est ironique c est qu après la défense à 9 de lorient à gerland j ai lu l entraîneur lillois expliquer qu il avait adoré le match tactique de lorient... il a vite appliqué les precepts
    Le pire c'est que le mec se la joue ambitieux...Quand tu vois les joueurs qu'il a ramene à Lille, Stopila Sunzu et Junior Tallo tu comprends le niveau du technicien et l'ėtendue de son network. Bėni soit Luis Campos, vraiment.
    Fondateur du Smolentsvisme : mouvement populaire prônant la nomination de Evgeny Smolentsev à la direction sportive de l'ASMFC.

  2. #52
    Entre à la 88ème Avatar de The Clash
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    Renard a, de mon point de vue, nettement plus prouvé que Jardim en tant qu'entraîneur jusqu'ici. Renard gagne la CAN, avec la Zambie. La Zambie, quoi. Le pays totalement inconnu du football jusque là. Il est recruté à Sochaux, il finit 5ème sur la phase retour du championnat avec la pire équipe de L1 (mais hélas le retard était trop important à combler à son arrivée). Il gagne la CAN avec la Côte d'Ivoire.

    Un peu de respect pour ce qui se fait de mieux (avec Rudi Garcia) comme entraîneur français actuellement ne ferait pas de mal...

  3. #53
    Super Sub Avatar de JoniNho
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    Jardim est pas encore assez un loser pour entrainer une equipe africaine, regardes qui sont à la tete des selections africaines : Giresse, Luis Fernandez, avant eux Lemerre et Lamouchi et encore je dois oublier des dossiers encore plus gros que ceux la. C'est le cimetiere des elephants, Renard est surement un bon manager, mais tactiquement Jardim c'est son père.
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  4. #54
    Compte désactivé Président d'honneur Avatar de Dayi'
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    Citation Envoyé par JoniNho Voir le message
    Jardim est pas encore assez un loser pour entrainer une equipe africaine, regardes qui sont à la tete des selections africaines : Giresse, Luis Fernandez, avant eux Lemerre et Lamouchi et encore je dois oublier des dossiers encore plus gros que ceux la. C'est le cimetiere des elephants, Renard est surement un bon manager, mais tactiquement Jardim c'est son père.
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  5. #55
    Avatar de giancarlo
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    Tu as oublié nouzaret ! On fait difficilement pire avec Jean Fernandez. Mais lui n'a pas entraîné de sélections africaines..
    Faut pas se laisser gagner par l'euphorie de croire que l'on est un homme important Louise Attaque

  6. #56
    Favori des médias Avatar de frãzinho
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    La sortie de Kurzawa nous a fait mal.
    On fait un debut de deuxième mi temps très moyen....
    Et paf ! la blessure de Moutinho à l'instant


  7. #57
    Favori des médias Avatar de Ethaniel
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    Du rififi lillois!!!!!


    Première mi-temps brillante en faveur de Monaco, avec une équipe dynamique, entreprenante, chacun de ses offensifs essayant de faire la différence. Silva, Dirar, Cavaleiro, Carrillo ont fait preuve d'initiative et de volonté, mais tantôt il manquait un peu de chance, tantôt le gardien lillois jouait les attrape-mouches!
    Face au jeu monégasque, Lille opposait du défensif, de l'agressivité, parfois de la dureté pas toujours sanctionnée par l'arbitre qui aurait dû s'imposer très vite et très tôt!!!!!!!!!


    Seconde mi-temps complètement à l'envers de la première!

    Le jeu lillois allait se radicaliser… Les Monégasques, eux, se faire torpiller physiquement et être obligés d'adapter leur système au détriment du beau jeu.
    Jardim, a réorganisé deux fois de suite l'équipe, privilégiant la protection de la cage au dépens de l'action offensive. L'équipe monégasque et l'entraîneur ne sont pas responsables de la violence de jeu de Lille, mais Jardim aurait dû remplacer poste pour poste. Maladresse du coaching… On perd deux joueurs clés qui réalisaient du spectacle et il replace Dirar en arrière droit, ce qui lui a coupé les ailes. Et Cavaleiro passe du milieu gauche vers le milieu droit qui lui est moins propice.
    Le gardien lillois a continué d'attraper les ballons jusqu'au bout et finalement on se contentera du match nul, dommage vu l'excellent football pratiqué par l'ASM en première période.
    Subasic a su être efficace quelles que soient les critiques émises à son encontre.

    Les nouveaux ont subi quelques observations injustes sur notre forum alors qu'ils étaient encensés depuis les matches amicaux.

    Un peu précoce pour tancer!

  8. #58
    Favori des médias Avatar de Ethaniel
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    Avec de la solidarité et 3 balles de match, le coup n’est pas passé loin pour Lille


    Le LOSC a lancé sa saison vendredi soir en ramenant un bon point de Monaco (0-0), là où beaucoup laisseront des plumes. Les Nordistes ont livré deux mi-temps bien distinctes. Spectateurs et occupés à défendre en première période, ils ont renversé le match après la pause et failli l’emporter sur la fin.


    Un LOSC aux deux visages, mais un LOSC solide et solidaire, qui s’est peut-être forgé une âme sur le chemin de sa reconstruction. Voilà ce qu’il faut retenir du match nul et sans but obtenu hier au stade Louis-II. « J’ai aimé le don de soi, le don pour le collectif », apprécia Hervé Renard, cette fois satisfait.

    Les Nordistes auraient pu tout perdre dès la première minute, sur un centre de Kurzawa que Silva catapulta de la tête au ras du poteau. Cet avertissement sans frais illustre bien la difficile première période des équipiers de Mavuba, qui ont beaucoup couru après le ballon et ce diable de Kurzawa, qu’ils virent sortir avec soulagement en seconde période (touché à la cheville). Car le futur arrière de l’équipe de France fut à l’origine de toutes les accélérations. Et c’est ainsi que l’ASM aurait pu logiquement prendre le score sur une frappe de Dirar (13e) et un beau coup franc de Moutinho (45e).

    Aurait pu seulement car dans les buts il y avait Vincent « Air » Enyeama, plus bondissant que jamais. Derrière leur gardien, les Lillois changèrent de ton après la pause en montant le pressing alors que les Monégasques pleuraient leur défenseur… Lille sortit ainsi la tête de l’eau dans le sillage d’un Boufal enfin à l’endroit, qui permit à Guillaume de venir chauffer Subasic (47e, 50e).

    Monaco reprit espoir sur une tête décroisée de Carvalho, qu’Enyeama enleva magnifiquement (76e). Porté par cet exploit, le LOSC en profita pour appuyer sur la fin et prendre le dessus physiquement mais aussi dans la tête. L’ASM termina le match sur le reculoir et Wallace dut sauver devant Tallon (87e). Sur le corner, Civelli décroisa sa tête au ras du poteau (88e). Et c’est Meïté qui creva le ciel aux six mètres alors que le but était ouvert (90e +2). Incroyable, trois balles de match ! « On a su leur poser des problèmes sur la fin. Ça ne fait qu’un point mais c’est un bon point », souligna Renard, pour qui le match nul était somme toute logique.

    Article de la Voix du Nord / Richard Gotte




    Le LOSC reçu au test de solidité, maintenant on attend les buts

    Le bon nul ramené de Monaco vendredi (0-0) permet d’en savoir un peu plus sur le nouveau visage du LOSC. Indemnes après le crash-test sur le Rocher, les Nordistes n’ont visiblement rien perdu en solidité. Ils peuvent attaquer l’autre chantier: la reconstruction offensive dans l’enthousiasme.

    Défense: du monde et du savoir-faire

    Si le LOSC ne compte qu’un point en deux matchs, il vient aussi de n’encaisser qu’un but en 180 minutes face aux deux meilleures attaques de L1, taillées pour la Ligue des champions (PSG et Monaco). A souligner, car sa défense a pour l’heure œuvré sans Basa, Sunzu, ni Béria. A Louis-II, Hervé Renard a pu constater qu’Enyeama restait dans le top 3 des gardiens de L1, que Pavard (19 ans) grandit très vite, que Soumaoro peut prendre de bons relais et que le travail de lessivage au milieu est encore efficace. L’équipe de Jardim s’est épuisée et a fini rincée. Les départs de Kjaer et Rozehnal sont digérés.

    Attaque: attention à la « Boufal dépendance »

    Revers de la médaille, Lille n’a pas encore marqué. Est-ce inquiétant? Pas pour le moment, car là encore il faut tenir compte de la qualité de l’opposition. Et puis cinq occasions en seconde mi-temps à Monaco, c’est intéressant, pas à la portée de tout le monde. Vigilance toutefois sur une forme de «Boufal dépendance». Quand l’attaquant n’est pas inspiré, les offensives ont du mal à s’enclencher (première période). Dès qu’il est de nouveau dans le sens du jeu, l’équipe va de l’avant. Et semble capable de prendre vite des repères, comme on l’a vu dans la liaison réussie entre Boufal et Guillaume.

    État d’esprit: la solidarité avec le sourire

    Mécontent du manque d’ambition après Paris, Renard a cette fois salué ses joueurs. «Il faut surtout retenir notre énorme solidarité collective, le don de soi pour le collectif», a-t-il apprécié. Ce jugement a une double entrée. Il permet d’insister sur l’indispensable cohésion de son équipe en reconstruction, dont il veut sentir le cœur battre. En creux, on note aussi que, dans son esprit, cette solidarité a compensé du déchet technique et un manque d’efficacité offensive. On le sent impatient de voir son équipe prendre les choses en main.

    Richard Gotte



    La peur rouge d’Obbadi

    Mounir Obbadi a bien cru que sa première titularisation avec le LOSC, vendredi à Monaco, allait finir dans une grimace.

    A un quart d’heure de la fin, le milieu de terrain a vu Benoît Millot lui brandir le carton rouge au visage après un contact avec Fabinho, resté au sol. Selon l’arbitre, la faute méritait un avertissement, synonyme d’exclusion pour le Franco-marocain déjà sanctionné d’un carton jaune à la 60e minute.

    Problème: si Obbadi avait effectivement eu le malheur de se trouver sur le chemin de la victime en fin d’action, il n’était en aucun cas responsable de la faute. Celle-ci (un croc-en-jambe) avait été commise, de manière assez grossière d’ailleurs, par Sofiane Boufal, qui avait un compte à régler avec le défenseur brésilien de l’ASM depuis quelques minutes.

    L’arbitre fait machine arrière

    Cette méprise souleva la stupeur et l’incompréhension dans le camp lillois, qui pouvait dans l’affaire être réduit à dix avant le money time. Bras levés au ciel, Obbadi, Mavuba et leurs équipiers vinrent ainsi plaider leur cause auprès de l’arbitre, dans un attroupement spontané dont le foot a le secret, avec quelques Monégasques pour faire l’appoint et ajouter à l’embrouille.

    Benoît Millot eut alors la sagesse de prendre du recul, d’analyser la situation, de remettre en cause sa décision et au final de faire machine arrière, avec le renfort de deux témoins. Il y eut d’abord l’aveu de Boufal, qui alla à sa rencontre se dénoncer comme étant l’auteur de la faute. Puis c’est surtout le complément d’information apporté par l’un des deux arbitres assistants, proche de l’action et assez sûr de lui pour prendre ses responsabilités, qui lui indiqua la marche à suivre.

    L’erreur révélée, Benoît Millot alla d’abord le signifier à Mounir Obbadi, en annulant sa décision (le carton rouge) d’un geste clair pour le grand public. Puis il sortit de nouveau le carton, jaune cette fois, à l’encontre de Sofiane Boufal, qui l’accepta sans broncher. Et pour cause, Lille venait de passer par une belle porte.

    Le courage de l’arbitre, sa méthode et ses explications furent en tout cas validés par tous, car Monaco, qui se serait bien vu finir en supériorité numérique, n’y trouva rien à redire. Lille y puisa de son côté un signe du destin et un second souffle pour s’accrocher encore un peu plus fort au résultat.

    Pour la petite histoire, trois minutes plus tard, Hervé Renard prit la précaution de sortir Mounir Obbadi, moins lucide avec la fatigue. Et puis, au foot comme ailleurs, on sait qu’un chat échaudé craint affreusement l’eau froide…

    Richard Gotte




  9. #59
    Super Sub Avatar de JoniNho
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    Merci pour l'article!

    Attention à la Boufal dépendance
    La peur rouge d'Obbadi
    Le courage de l'arbitre...
    Avec pour conclusion : au foot comme ailleurs, chat échaudé craint l'eau froide.

    Quel plume!
    Je demande le Goncourt pour cette homme!
    Fondateur du Smolentsvisme : mouvement populaire prônant la nomination de Evgeny Smolentsev à la direction sportive de l'ASMFC.

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