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  1. #51
    18ème homme Avatar de Clem'
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    Citation Envoyé par Tsiry Voir le message
    Idem pour moi, ça fait plaisir de voir Mbokani qui reçois enfin des ballons - même s'il y a moyen d'améliorer encore le nombre et la qualité des ballons transmis.

    Si l'ASM fait un match plein pendant 2 mi-temps, comme ici pendant la 2ème mi-temps, Mbokani met 2 buts.

    Puis pour Malonga, ça fait aussi plaisir de voir quelqu'un qui percute et qui centre, ça fait quelques années qu'on a pas vu ça à Monaco.

    Et dernièrement, Bonnart très bon en 2ème période à gauche.
    J'ai pas vu le match, mais sur le résumé, la plupart des ballons qu'il a c'est des balles en profondeur. Il a enfin compris qu'à l'ASM, quand on récupère le ballon, il faut courrir devant pour avoir une chance de le toucher?




  2. #52
    Favori des médias Avatar de Yayou
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    J'ai trouvé Malonga très en déca du niveau que vous lui donnez. Pas vraiment de solutions quand Bonnart monte et lorsqu'il a le ballon il tente - en vain - son crochet qui n'est jamais passé, 4 fois si j'ai bien compter. Ensuite il n'est pas en confiance car il a eu une ou deux très bonne situation de tirs qu'il n'a pas jugé bon d'exploiter.

  3. #53
    Entre à la 88ème Avatar de Victor
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    Citation Envoyé par Yayou Voir le message
    J'ai trouvé Malonga très en déca du niveau que vous lui donnez. Pas vraiment de solutions quand Bonnart monte et lorsqu'il a le ballon il tente - en vain - son crochet qui n'est jamais passé, 4 fois si j'ai bien compter. Ensuite il n'est pas en confiance car il a eu une ou deux très bonne situation de tirs qu'il n'a pas jugé bon d'exploiter.
    Mais non mais là y'a une incompétence footballistique totale, c'est fou de dire que Malonga a été bon, il fait juste des contrôles orientés et des petits gris gris mais ça n'aboutit jamais à rien, il est incapable de transmettre son ballon proprement, ni de dribbler, ni de garder le contrôle du ballon même dans les situations les plus simples. Sans parler de sa nonchalance irritante et de son activité tant défensive qu'offensive pour le moins réduite.

    C'est une arnaque totale, il est élégant, il a l'air technique, mais son apport au collectif est en dessous de zéro, c'est un des pires joueurs que j'ai vu jouer de ma vie.
    COUTADEUR
    MANGANI ET MURATORI

  4. #54
    Astique les vestiaires Avatar de Tsiry
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    Citation Envoyé par Clem' Voir le message
    J'ai pas vu le match, mais sur le résumé, la plupart des ballons qu'il a c'est des balles en profondeur. Il a enfin compris qu'à l'ASM, quand on récupère le ballon, il faut courrir devant pour avoir une chance de le toucher?
    Non il y a eu pas mal de situations avec des passes en triangle qui se finissaient par une course (presque) dans le dos des défenseurs.

    Ici par ex : http://www.asm-fc.com/article.aspx?id=12970
    à la 50''
    ou à 2'20'', un ballon qu'il aurait du recevoir en retour.

    Sinon, il y a pas mal de centres pour sa tête aussi, faut pas oublier qu'il a aussi un bon jeu de tête.

  5. #55
    Super Sub Avatar de JoniNho
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    Citation Envoyé par Victor Voir le message
    Mais non mais là y'a une incompétence footballistique totale, c'est fou de dire que Malonga a été bon, il fait juste des contrôles orientés et des petits gris gris mais ça n'aboutit jamais à rien, il est incapable de transmettre son ballon proprement, ni de dribbler, ni de garder le contrôle du ballon même dans les situations les plus simples. Sans parler de sa nonchalance irritante et de son activité tant défensive qu'offensive pour le moins réduite.

    C'est une arnaque totale, il est élégant, il a l'air technique, mais son apport au collectif est en dessous de zéro, c'est un des pires joueurs que j'ai vu jouer de ma vie.
    N'exagères pas ! Il offre un bon centre bien travaillé à Mbok qui loupe sa tête, et a fait de bons appels qui ont soulagé Bonnart. Meilleur que PEA, c'est clair qui s'enferme dans un registre de sprinteur/sniffeur de ligne qui n'offre aucune solution à ses partenaires de part son placement trop excentré, et qui lui par contre à un apport au collectif quasi-nul!

    Ce qu'on peut lui reprocher à Malonga, c'est d'avoir été brouillon, nombreuses glissades, quelques ratés dans le dernier geste. Mais sa rentrée à contribuer au renouveau offensif de la seconde période, avec une capacité notamentà jouer en première intention.

    Pour moi collectivement, en une mi-temps, il a montré plus qu'Aubameyang depuis le début de saison, mais il est perfectible.
    Fondateur du Smolentsvisme : mouvement populaire prônant la nomination de Evgeny Smolentsev à la direction sportive de l'ASMFC.

  6. #56
    Entre à la 88ème
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    Il faut laisser à nos recrues le temps de l'adaptation au club, et ne pas changer toutes les 5 minutes aussi pour créer des automatismes!

  7. #57
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    Personne n'a remarqué ce que fait Gosso sur le but de Park ?
    Il croit que c'est lui qui frappe !

  8. #58
    Star internationale Avatar de Mimo
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    Dans le genre "personne n'a remarqué" aussi, la fin du match ou Chalmé la petite catin et quelques bordelais se jettent sur Mendy sous prexte qu'il a "mal" rendu le ballon au bordelais suite à la blessure de Sané?

    Et quasi aucun monégasque pour le proteger et encore moins pour calmer la racaille bordelaise. Belle solidarité dans ce groupe en effet...

  9. #59
    Favori des médias Avatar de Ethaniel
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    Articles Sud-Ouest

    Monaco - Girondins de Bordeaux : un match nul qui n'arrange personne

    Reporté dimanche à cause de la pluie, le match Monaco-Bordeaux s'est déroulé mardi soir au stade Louis II

    Monaco et Bordeaux se sont séparés sur un score nul (2-2), mardi soir au Stade Louis-II lors d'une rencontre en retard de la 11e journée du Championnat de France de Ligue 1.

    Malgré ce point marqué, Monaco reste relégable et se retrouve à trois points de Nice, 17e. Monaco enchaîne, de ce fait, un septième match consécutif - le 10e de la saison - sans victoire. Bordeaux, pour sa part, ne parvient toujours pas à enchaîner et demeure dans le ventre mou du Championnat à la 9e place.

    Bordeaux entrait bien dans la partie. Suite à une mauvaise relance de Hansson, Wendel plaçait une demi-volée au-dessus (4). Ce même Wendel était, peu après, contré au dernier moment par Hansson (7). Puis, sur un centre de Ben Khalfallah, Hansson ne détournait pas le ballon. Ruffier, en duel avec Gouffran ne pouvait que repousser sur la cuisse de Traoré, buteur contre son camp (0-1, 10). Malgré une réaction de Park, dont la tentative filait à l'extérieur du poteau gauche de Carrasso (18), les hommes de Lacombe, au fond de jeu pathétique, ne parvenait pas à déclencher la moindre action. C'était même Trémoulinas qui, d'une frappe lointaine du droit, obligeait Ruffier à un arrêt de grande qualité (38).

    Devant ce marasme collectif, Lacombe changeait son fusil d'épaule à la pause. Aubameyang, inexistant était remplacé par Malonga, et Traoré par Puygrenier, nouveau latéral droit pour l'occasion. Il fallait moins de cinq minutes pour obtenir des effets positifs. Mbokani reprenait de la tête sur la barre transversale un centre de Coutadeur. A l'affût, Park effectuait une volée implaquable du droit (1-1, 49). Monaco semblait alors se libérer. La frappe de Mbokani était détournée en corner par Carrasso (54), qui par la suite captait aisément la tête du Congolais pourtant absolument seul (55).

    Monaco poussait et prenait l'avantage grâce à Coutadeur (2-1). L'ex-Manceau, excentré côté gauche, exécutait un coup-franc rentré du droit que personne ne reprenait et que Carrasso laissait filer dans sa cage. Dès lors, Monaco desserrait son emprise. Bordeaux en profitait. A la suite d'un corner de Plasil, Ruffier sortait mal. Jussie reprenait parfaitement du gauche pour égaliser malgré la tentative de sauvetage de Bonnart (2-2, 74). Monaco, au moral défaillant, faiblissait. Coutadeur était exclu sévèrement (84) mais les deux équipes ne pouvaient se départager.









    Cédric Carrasso, un gardien si précieux

    Les Girondins de Bordeaux doivent encore une fière chandelle à leur gardien, sans qui ils seraient revenus bredouilles de la Principauté




    Il ne voulut pas parler, sans doute parce qu'il se sentait partagé entre la déception d'avoir encaissé deux buts et la satisfaction frustrante d'avoir dû réussir deux ou trois exploits, pour empêcher l'équipe de plonger, plutôt que pour préserver une victoire. Cédric Carrasso n'apprécie pas, on l'imagine, ce genre de match où il se trouve à n'avoir rien à faire en première période, si ce n'est boucher l'angle de tir de Park à la 19e, mais doit ensuite multiplier les exploits pour compenser les faiblesses défensives de son équipe.

    Fusillé par Park

    Il ne pouvait pas grand-chose, le troisième gardien de l'équipe de France, sur les deux buts qu'il encaissa en deuxième période. Fusillé à bout portant par Park sur le premier (49e), il fut trompé sur le second par le saut de Saivet et la trajectoire plongeante du ballon (64e) de Coutadeur, l'habile tireur de coup franc.

    Mais sans lui, Bordeaux aurait bu une drôle de tasse en Principauté. « Il a encore fallu un miracle de Cédric pour que l'on puisse rapporter un point », soupira Tigana après la partie. Il s'offrit trois parades de grande classe en effet, qui s'ajoutent à celles essentielles déjà réussies depuis son retour dans les buts bordelais. Il s'interposa devant Mbokani, qui avait faussé compagnie à l'arrière-garde Marine (54e).

    Et il fut tout aussi intraitable devant Malonga, sur ce ballon qui, à la 83e, aurait offert la victoire aux Monégasques.

    Enfin, il surgit une dernière fois, dans les arrêts de jeu, pour enrayer cette percée de Mbokani, qui filait au but avec la quasi-certitude de marquer. Il était là, solide sur ses appuis, qui détourna d'une main ferme la tentative du Congolais. Bordeaux repartit avec le point du nul, il doit une fière chandelle à son gardien!



    Après Monaco-Girondins de Bordeaux (2-2): un point d'interrogation

    Les Girondins ramènent un match nul (2-2) de Principauté, à l'issue d'un match bizarre, maîtrisé pendant une mi-temps, mais qu'ils auraient dû perdre à la fin.



    Plasil et les Girondins ont montré du bon comme du mauvais,
    à Monaco. photo PQR


    Cette fois, ils n'ont pas fait le voyage tout à fait à vide. Les Bordelais reviennent de leur deuxième déplacement en Principauté en 48 heures avec le point du résultat nul, qui leur permet certes de gagner trois places au classement (9e), à trois points du podium, avant de recevoir deux fois (Valenciennes samedi puis Nancy le suivant).

    Mais c'est surtout un énorme point… d'interrogation à la sortie d'une rencontre à rebondissements, débridée et offensive entre deux des attaques les moins prolifiques du championnat, qui laisse finalement dubitatif sur le véritable niveau de cette équipe, invaincue à l'extérieur en Ligue 1 depuis trois matches, mais toujours engluée dans le ventre mou du classement.

    Que retenir de ce match, côté Girondin ? Du solide, du bon parfois, assez souvent du très moyen, et du mauvais aussi : les Girondins sont passés par toutes les couleurs hier soir sur une pelouse du stade Louis-II qui avait finalement bien supporté le bâchage dû aux intempéries.

    La colère de Tigana
    Une fois n'est pas coutume, ils ont bien débuté, inscrivant leur but le plus rapide de la saison (Traoré contre son camp, 10e). Dans la foulée, ils ont maîtrisé la première période, puis se sont inexplicablement liquéfiés à la reprise de la seconde, concédant deux buts rapidement (Park, 49e, et Coutadeur, 64e), avant de revenir au score (Jussiê, 74e) et de frôler le pire, à onze contre dix (expulsion de Coutadeur, 84e), à la toute dernière seconde des arrêts de jeu, quand Cédric Carrasso sauvait une fois de plus les meubles (lire en page 35) face à Dieumerci Mbokani, à la grande colère de leur entraîneur Jean Tigana : « Pour moi, c'est une faute professionnelle. À haut niveau, on n'a pas le droit. Mais c'est vrai que je n'ai que 35 ans de professionnalisme derrière moi. Je sais que quelques petits jeunes ont tendance à m'expliquer le football mais de temps en temps, j'ai du mal à comprendre. »

    Deux visages
    Pas content du tout « Jeannot », obligé de constater, une fois de plus, la versatilité de son équipe, capable de passer du tout au rien en changeant de camp. « C'était déjà le cas à Saint-Etienne en Coupe de la Ligue (défaite 1-0 mardi dernier, Ndlr) : on ne parvient toujours pas à disputer deux mi-temps de haut niveau. À quoi c'est dû ? Aux changements effectués par Guy (Lacombe) et au fait que chez nous, individuellement, des joueurs ne sont pas à leur meilleur niveau. » C'est clairement dit.

    Bordeaux, pourtant, s'était parfaitement installé dans la rencontre face à un Monaco gagné par la fébrilité du relégable. En revenant à un 4-4-2 à plat avec Ducasse et Plasil dans l'axe et deux attaquants de pointe (Gouffran et Modeste), Tigana, « venu pour gagner », voulait muscler son secteur offensif.

    Objectif plutôt atteint à la pause : un but, certes heureux et entaché d'une faute de Gouffran sur Ruffier, mais aussi un jeu mieux huilé que ces dernières semaines. « On a revu des frappes, des dédoublements de passes : personnellement, j'y ai pris du plaisir et je trouve que c'est encourageant », retenait Benoît Trémoulinas.

    Le problème, c'est que ces bonnes intentions sont restées au vestiaire à la pause. « Après une première mi-temps bien maîtrisée techniquement, on se dit qu'on va reprendre les 15-20 premières minutes à fond à la reprise. Résultat : on subit les impacts, on ne se trouve plus sur le terrain et on déjoue complètement », râlait Yohan Gouffran.

    À l'arrivée, l'impression n'est pas bonne : « Pour moi, ce n'est pas du tout encourageant, je suis très déçu de ce nul », tranchait Tigana. À force de retarder la mise à feu, Bordeaux va finir par rester définitivement cloué au sol cette saison.


    Girondins de Bordeaux : « Nous avons perdu notre concentration », dit Fernando

    Le Brésilien estime que l'arbitrage a perturbé son équipe contre Monaco (2-2)




    Fernando parle d'« accumulations d'erreurs de l'arbitre ». Ph. PQR


    Que vous est-il arrivé dans ce match que vous sembliez avoir bien en main?
    Après la pause, on est sans doute revenu un peu moins concentré, un peu moins attentifs, un peu moins agressifs. Ce qui fait qu'on laissait trop de liberté à nos adversaires, qui pouvaient contrôler le ballon, regarder, prendre le temps de chercher un partenaire. Cela a surtout profité à Coutadeur, dont nous savions pourtant qu'il pouvait mettre le ballon où il voulait, trouver ses attaquants qui sont de bons joueurs de tête. C'est ainsi que l'on a pris le premier but…

    N'étiez-vous pas un peu trop facile?
    On n'a pas eu le temps, en fait. Je pense que leurs changements tactiques à la pause nous ont perturbés.

    Vous auriez pu mener 2-0 à la pause?
    Il est dommage que nous n'ayons pu marquer le deuxième but. On sentait qu'il y avait la place pour le faire, face à une équipe de Monaco pas très sûre d'elle-même. Mais comme elle a marqué très tôt en deuxième période, cela lui a donné de la motivation et de la confiance.

    Avez-vous eu peur de perdre?
    Nous étions menés ! Il fallait remettre le ballon au sol, essayer de rejouer. Heureusement, nous égalisons sur un coup de pied arrêté. Dans le vestiaire, il y avait beaucoup de frustrations par rapport aux décisions de l'arbitre, cela nous a fait perdre notre concentration et notre calme.

    C'est-à-dire?
    Sur le deuxième but, on voit bien que je suis derrière l'attaquant. Il se jette en avant parce qu'il effectue un mauvais contrôle, il prend le ballon en touche, l'arbitre siffle faute et nous prenons un but là-dessus… C'est n'importe quoi mais malheureusement, on ne peut rien dire aux référés, il faut les respecter. Avant le début de la saison, un arbitre nous a montré des vidéos de semelles au niveau de la cheville, qui méritaient un jaune. Gosso, il a mis une semelle à Trémoulinas mais M. Lannoy n'a pas su nous expliquer pourquoi il ne mettait pas d'avertissement à Gosso. Mais nous, nous le savons. Parce que le joueur avait déjà un jaune et le directeur du jeu n'a pas eu le courage de lui donner un rouge. Ces accumulations d'erreurs de l'arbitre font que l'on perd sa concentration, on perd son calme.

    Vous allez finir la saison au poste de défenseur central…
    Moi, je m'entraîne, le coach décide. L'année dernière, Lamine et moi avions déjà joué ensemble contre Lorient. Cela s'était bien passé. Je pense qu'en première période, nous avons fait un très bon travail. Mais la deuxième période fut difficile physiquement. Le fait d'avoir effectué deux voyages a pesé sur les organismes.

  10. #60
    18ème homme Avatar de Clem'
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    Citation Envoyé par Ethaniel Voir le message
    C'est-à-dire?
    Sur le deuxième but, on voit bien que je suis derrière l'attaquant. Il se jette en avant parce qu'il effectue un mauvais contrôle, il prend le ballon en touche, l'arbitre siffle faute et nous prenons un but là-dessus… C'est n'importe quoi mais malheureusement, on ne peut rien dire aux référés, il faut les respecter. Avant le début de la saison, un arbitre nous a montré des vidéos de semelles au niveau de la cheville, qui méritaient un jaune. Gosso, il a mis une semelle à Trémoulinas mais M. Lannoy n'a pas su nous expliquer pourquoi il ne mettait pas d'avertissement à Gosso. Mais nous, nous le savons. Parce que le joueur avait déjà un jaune et le directeur du jeu n'a pas eu le courage de lui donner un rouge. Ces accumulations d'erreurs de l'arbitre font que l'on perd sa concentration, on perd son calme.
    Il y en a qui ont été devant le conseil de l'éthique pour avoir critiqué les erreurs des arbitres dans les médias, non?




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