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  1. #16971
    Buteur providentiel
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    April 2008
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    Paris
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    Sidibé était dans Le Vestiaire ce soir. Il y a quelques passages disponibles sur Twitter au cours desquels il revient sur différentes périodes de sa carrière chez nous.

    https://twitter.com/RMCsport/status/...221713920?s=20
    L'intransigeance ou du moins impatience d'Henry avec les jeunes.

    https://twitter.com/RMCsport/status/...315762688?s=20
    La frustration à la suite des choix de Jardim lors du match retour face à la Juve.

    https://twitter.com/RMCsport/status/...976748545?s=20
    Les critiques sur ces performances au retour du Mondial.

    https://twitter.com/RMCsport/status/...250933251?s=20
    Son probable futur transfert définitif à Everton.

    A croire qu'il n'a pas eu un seul bon souvenir de son passage chez nous (demi ).

  2. #16972
    Président d'honneur Avatar de kitohiro
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    June 2004
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    Pas compris un mot concernant le passage d'Henry.. à mon avis la vidéo est mal coupée...
    Déjà Henry n'avait pas vraiment de choix ni de temps... exiger d'Henry du temps alors que la direction n'en donne pas c'est un peu paradoxale.
    Woooow, quelle audace derrière ton clavier ..

  3. #16973
    Avatar de Tarô
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    Nankatsu
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    Et ben... Il me manque pas celui-là

    - Henry aurait dû être plus patient : oui c'est vrai qu'il avait bien le temps pour ça...

    - Les mecs ils vivent une saison extraordinaire mais ce qu'il veut retenir c'est qu'il a pas été titulaire au retour contre la Juve et que ça a gâché la fin de l'aventure... Ok désolé !

    - Les critiques après la coupe du monde gros c'est pas parce que t'étais champion c'est parce que t'étais bidon. C'est dingue le nombre de professionnels qui sont incapables de se remettre en question.

    - Même la dernière vidéo sur Everton je comprends pas ce qu'il dit "il y a des paramètres que je ne maîtrise pas"... Y'a une option d'achat non ? A moins qu'Everton ne veuille essayer d'acheter Sidibé moins que le prix ridicule de son option d'achat mais dans ce cas j'espère qu'on les enverra chier.
    Repeat, Repeat, Repeat.

  4. #16974
    10 000 fans Facebook Avatar de Raiden
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    September 2005
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    oisif, dans l'oise!
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  5. #16975
    Entre à la 88ème
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    J'ai bien aimé les mots de Platini, disant que Michel Hidalgo avait été très influencé par le beau jeu à l'ASM (et de Reims)... Il aurait dit la même chose de certains clubs, cela aurait fait la une de plusieurs sites.

  6. #16976
    Super Sub Avatar de lio
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    RIP :





    Edit :
    Communiqué de la famille de Didier Christophe "Non, Didier Christophe n'est pas décédé et c'est pas une tafiole !"
    OUF !

    "When the seagulls follow the trawler
    , it's because they think sardines will be thrown into the sea"

    William Shakespeare - "Le Roi Lion" (King Lear vs. King Canto) 1588

  7. #16977
    18ème homme Avatar de Aragorn
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    Dado Prso est l'adjoint de Bruno Irles à Pau, il est en charge des attaquants apparemment. Je ne savais même pas.

    https://www.lequipe.fr/Football/Actu...tional/1127896
    Dernière modification par Aragorn ; 17/04/2020 à 16h58.
    Daghe Munegu forever !!

  8. #16978
    18ème homme Avatar de barceloneman
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    Il a fait danser l'Argentine, on l'a baptisé "le nouveau Messi" et Boca le voulait, mais il s'est perdu en chemin à cause de son indiscipline. Aujourd'hui il s'offre pour retrouver un club.

    Juan Pablo Pino a explosé lors du Sudamericano Sub 20 de 2007, où avec la Colombie il eut un match fantastique face à la sélection albiceleste. Les offres pleuvaient sur lui, mais il a fini par migrer à Monaco, où il réveilla même l'intérêt de José Mourinho. Mais il n'a jamais pu décoller : des blessures et des problèmes de comportement ont miné sa carrière. "Le fric m'a déconcentré, j'en ai eu très jeune" a t-il déclaré.

    "Les joueurs fantastiques, comme Juan Pablo Pino, dirigent le football. Les génies, les joueurs habiles sont l'âme de ce sport. Ils ne se cassent pas la tête à savoir s'ils sont milieu offensif, ailier, ou plus organisateur de jeu... C'est simplement un crack", écrivait le quotidien El Tiempo de Bogotá.

    "Le physiothérapeute de l'Argentina aura énormément de travail pour récupérer les hanches qu'a cassé Pino au cours des 80 minutes qu'il a passé sur le terrain", signait Vanguardia après son apparition.

    "C'est un très bon joueur, il va recevoir beaucoup d'offres", a dit Carlos Salvador Bilardo à Cadena Caracol. Ce 10 janvier 2007, les yeux du foot sudaméricains étaient émerveillés para ce jeune joueur tressé au style Ronaldinho, insaisissable pour ses adversaires. Avec Juan Pablo Pino comme étendard, la Colombie a battu l'Argentine 2 buts à 1 en phase de groupes du Sudamericano Sub 20 disputé au Paraguay.

    Le milieu offensif, ailier ou relayeur originaire de Cartagena a brillé cette nuit là au stade 3 de Febrero, à Ciudad del Este : il a réalisé une action de génie qui a amené le but de Carlos Darwin Quintero, qui n'avait plus qu'à pousser la balle au fond. Avant ça, el Mago a pris le ballon en dehors de la surface sur le coté droit, a débordé à toute vitesse, a feinté pour se débarrasser de Matías Cahais, le capitaine argentin, a refait un dribble avant de donner le ballon. Bien qu'il n'ait pas marqué lui même le but, son intelligence a vraiment marqué les esprits.

    Deux années auparavant, un autre colombien, Hugo Rodallega, avait réussi à faire de l'ombre à un certain Lionel Messi lors du Sudamericano. Au Mondial Sub 20 des Pays-Bas de 2005, la Pulga s'était fait remarqué seul et avait confirmé tout le bien que la planète football pensait de lui. L'association, dû au peu d'années de différence, en devenait naturelle. Pino est devenu "le nouveau Messi". Ou "le Messi colombien".

    La sélection dirigée par Eduardo Lara a terminé une première phase de rêve. Il n'a perdu qu'un match contre l'Uruguay d'Edinson Cavanu ; elle a ensuite gagné ses trois rencontres et termina première du groupe. Pino rayonnait par son habilité et marqua même face à l'Equateur. Les chercheurs de talent européens et du reste du continent lui tournaient déjà autour, observant en lui le potentiel d'une star.

    Pour beaucoup, son irruption au Sudamericano était une découverte. Mais en Colombie, on avait déjà pas mal d'espoirs grâce à ses dribbles vertigineux. Pino a débuté à l'Independiente Medellín en 2005, deux années avant. Flanqué du numéro 18, et déjà en duo avec Darwin Quintero, il a brillé pendant le tournoi Sub 21 de Centre Amérique, que la Colombie finissait par remporter en battant le Venezuela en finale

    Mais ces dribbles contre l'Argentine ont fini de le catapulter. Sao Paulo, Chelsea, l'Udinese et Boca, entre autres, se montraient intéressés et le club argentin fit le premier pas. Mauricio Macri, alors à la tête du club (et en 2015 président de la République), reconnaissait les négociations avec le club colombien. "C'est un jeune qui a énormément de talent et le démontre au Sudamericano. On attend une réponse pour voir si on peut trouver un accord".

    La réaction du Mago ne se faisait pas attendre. "Il y a de grandes chances que je revêtisse le maillot de Boca, mais il faut que je reste tranquille. J'espère le meilleur pour moi et ma famille. Boca est un énorme club et ce serait un grand pas pour moi, mais un transfert en Europe me plairait aussi. Tout se résoudra après le Sudamericano", commenta Pino.

    Le bon parcours en phase de groupes de la Colombie vola en éclats lors de l'Hexagonal final à Asunción. Le premier match se transforma en catastrophe : la Colombie s'inclina 5 à 0 face au Chili, où jouaient Arturo Vidal, Alexis Sánchez, Gary Medel et Mauricio Isla.

    Les rumeurs d'indiscipline et de relâchement tournaient déjà autour de la sélection. En phase finale, la Colombie n'a obtenu qu'un match nul : 0-0 face à l'Argentine, qui emmené par Ángel Di María, Sergio Romero et Ever Banega finit deuxième du tournoi, se classifiant pour le Mondial au Canada et les Jeux Olympiques de Beijing, deux compétitions qu'elle finira par remporter. Le champion du Sudamericano fut le Brésil, emmené par Lucas Leiva et Alexandre Pato. La Colombie finissait sixème sur ... 6 équipes. Pino marqua un but, face au Paraguay, un match perdu 3 à 2.

    Mais les lumières restaient allumées sur le joueur. C'est finalement Monaco qui remporta la mise, en payant 3 Millions de Dollars. A 19 ans, l'Europe lui ouvrait ses bras. Mais il se blessa, et quand il revenait, il avait perdu sa place ou disposait d'opportunités qui tombaient au compte goutte...

    Il fut alors prêter à Charleroi en Belgique, ou il a pu offrir ses rush endiablés. A son retour il reviva. Il se fait de nouveau remarqué lors d'un match amical contre la Roma et le journal AS disait : "El Mago se réveille d'un long sommeil". Ces slaloms, grâce auxquels il s'était fait connaitre avec la Colombie, se voyaient enfin en Europe. Il y ajoutait même un nouveau registre, le but.

    Son plus beau but il le marquait justement face au Girondins de Bordeaux, lors d’une défaite 4 buts à 3. D’un coup franc excentré coté gauche, il envoya le ballon se loger dans la lucarne, après avoir pris beaucoup d’effet, ce qui trompa le gardien adverse.

    Il gagna deux fois de suite le titre de meilleur joueur du mois à Monaco. Son talent refaisait surface. De nouveaux prétendants resurgissaient, comme deux ans auparavant. Liverpool et Arsenal ont commencé à le suivre de nouveau ; il se disait dans le milieu que se valeur marchande avait augmenté et qu'il faudrait déboursé 10 Millions d'euros pour le déloger de la Principauté.

    Le 30 juillet 2009, Monaco joua un match amical contre l'Inter Milan lors de la Pirelli Cup, la pré saison précédant la victoire des Intéristes en Ligue des Champions, en battant le Barça en demi finale puis le Bayern Munich en finale, avec deux buts de Diego Milito. Flanqué du numéro 20, Pino est rentré en jeu en seconde période, à 23 minutes du terme de la rencontre. Ce furent les débuts de Samuel Eto'o avec les milanais ; Diego Milito marqua le seul but du match à la 55ème. Cependant, José Mourinho était conquis par les dribles de Pino.

    Malin, Mou appela Iván Ramiro Córdoba, compatriote du milieu offensif, et en compagnie de l’entraîneur des gardiens, Silvino Louro, ils se sont rapprochés pour parler avec le jeune joueur. Les journalistes arrivaient à déchiffrer sur les lèvres du Mou "Il faut l'acheter".

    Mais ça ne s'est pas fait. Pino n'a pas confirmé, son talent ne suffisait pas en comparaison avec ses problèmes de discipline et ses blessures. Son chemin sinueux l'ammena de club en club, sans s'imposer. Galatasaray, Al Nasr (Arabie Saoudite), Olympiakos, Bastia ont été quelques unes de ses destinations. Entre temps, il a vécu un épisode assez curieux en Turquie au Mersin Idmanyurdu : il a signé son contrat et l'a résilié dans la foulée ne se sentant pas à l'aise.

    En 2013, l'Independiente Medellín, son club formateur, est allé le sauver : Il l'ont fait signer avec l'excuse de célébrer le centenaire du club avec son fils prodigue comme étendard. Plus mûr, sur ses terres, les conditions étaient réunies pour son décollage. Malheureusement, son retour en Colombie a fini en scandale.

    Il courait la rumeur à Medellín que son attitude en tant que professionnel était loin d'être la correcte. Il se disait qu'il était habitué des soirées et les dirigeants ont décidé de lui faire un contrôle d’alcoolémie à l'entraînement. Juan Pablo refusa. Face à sa décision, le corps technique l'envoya travailler à l'écart du groupe. Il refusa de nouveau, et s'en alla.

    La tension avait atteint son maximum. "Le joueur ne fait pas partie de l'équipe par sa faute", dira l’entraîneur Pedro Sarmiento. Pino finira par rompre son contrat après 8 matchs joués. Il fait encore la une, mais par pour ses exploits sur le terrain.

    Ses deux dernières expériences furent au Universitario de Deportes et en Indonésie. En 2016, il voyaga à Lima pour faire partie du club péruvien, qui participait à la Copa Sudamericana. "J'ai eu l'opportunité de rejouer en Europe, mais j'ai voulu revenir sur le continent pour ressentir le football sudaméricain. J'ai deux enfants", justifiant son choix. Il a dû faire face aux préjugés. "Si j'étais si mauvais (surcôté) je n'aurais jamais joué 9 ans en Europe". Mais il ne jouera que six matchs avec le club péruvien pour un but ; les blessures reprirent le dessus.

    Il attend aujourd'hui une nouvelle opportunité : en 2019 il s’entraînait avec le Deportivo Cúcuta et réapparaissait dans les journaux de son pays. "J'ai joué deux ans en Indonésie, j'ai eu la possibilité de revenir, mais à cause du coronavirus, je ne pouvais pas le faire. Je pense encore avoir un, deux ou trois ans de plus dans les jambes. J'espère que tout ça passera vite, pour que les championnats reprennent", lors d'une émission Saque Largo, où il se montrait heureux d'être de nouveau sous les feux des projecteurs.

    Lors de sa dernière apparition en publique, Pino fut autocritique pour expliquer pourquoi il n'avait pas été à la hauteur de son statut de "Messi colombien". "Le fric m'a déconcentré, j'en ai eu très jeune" a t-il reconnu.

    "J'ai très bien démarré ma carrière, arriver à Monaco à 19 ans n'était pas une chose aisée à l'époque. Ca me rend nostalgique tout ça, mais je pense en avoir bien profité".

    Puis il reprit : "J'ai manqué de discipline et je m'en veux, je pense que si j'avait été plus professionnel, j'aurais pu évoluer dans de meilleurs équipes que celles que j'ai connues. Quand je revois les joueurs qui jouaient avec moi et qui jouent aujourd'hui en sélection, ça me rend nostalgique parce que j'étais le 10 de la sélection".

    "Il arrive un moment dans le football ou toutes les équipes te veulent, et quand c'est à toi d'aller frapper aux portes un jour, c'est là que tu te rends compte que les choses ont changées", se lamenta t-il. Ce sont les mêmes portes qui s'ouvraient auparavant quand il montra tout son talent pendant le Sudamericano de 2007...
    Source : https://www.infobae.com/america/depo...-lo-contraten/
    Traduction by myself

  9. #16979
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    Sur Instagram ce soir en live Kurzawa sera avec d'anciens monégasques de la génération Gambardella comme Appiah, Nampalys Mendy, Tisserand, Eysseric et pleins d'autres. Il veut parler du centre de formation et du métier de footballeur, comment gérer le départ du club, les difficultés etc...

    A 21H30

  10. #16980
    Avatar de giancarlo
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    Dommage qu'il n'y ait que des profils qui ne soient pas rester au club :

    Kurzawa : parti à la concurrence au pire moment pour nous (une mbappe avant l'heure...)
    Eysseric : parti beaucoup trop tôt, a voulu plus de temps de jeu.
    Mendy : n'a pas voulu être là doublure de fabinho et est parti à Nice
    Appiah : pas assez fort pour l'équipe fanion
    Tisserand : comme appiah, il aurait pu être numéro 3bis ou 4 à son poste, pas intéressant pour lui de rester
    Faut pas se laisser gagner par l'euphorie de croire que l'on est un homme important Louise Attaque

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