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  1. #171
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    Citation Envoyé par djayan Voir le message
    Une paire qui n'a encaissé que deux buts en six matchs, je vous le rappelle dont deux matchs de LDC et un match contre le PSG
    Dont un coup franc. Hier soir c'était notre premier but encaissé dans le jeu depuis Lyon il me semble?

    Et puis, surtout c'est une paire qui ne concède qu'un minimum d'occasions de but.

    Abdenour n'est pas prêt de rentrer dans le 11 selon moi. Sauf suspension ou blessure.

  2. #172
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    Raggi, c'est pas beau mais c'est solide et tant que Papy tient le choc, je ne changerai pas cette charnière centrale.

  3. #173
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    Idem, on a eu tellement de problèmes en début de saison que cela serait très risqué de changer je pense.

  4. #174
    Favori des médias Avatar de hebus
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    Moi_ je le verrai differemment, avec l'absurde convocation de Ricardo, il faut absolument se preserver d'une Abidal et ne pas hesiter a le faire souffler sur certain matchs et relancer AYmen.

  5. #175
    Avatar de popoche28
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    Article de SoFoot sur notre défenseur central :

    Si sa dégaine de tenancier de camion à pizza dans les Alpes de Haute-Provence peut prêter à confusion, Andrea Raggi n'est pas du genre à faire mentir les apparences. Le natif de La Spezia a la gueule du footballeur besogneux et il le sait. « Un défenseur, c'est là pour faire la guerre et pour défendre son but. J'ai toujours aimé ça », confiait-il à L'Équipe récemment, avant de confirmer qu'il ne se prenait pas pour un autre : « Après, si tu es Thiago Silva, c'est autre chose, tant mieux. » La vérité, c'est qu'avec Thiago Silva, Andrea Raggi ne partage presque rien. Juste une profession, un poste et un pays, l'Italie, que le Monégasque tient moins à garder dans son cœur que Claude Barzotti. « Aujourd'hui, les journalistes italiens m'appellent pour des interviews, mais je refuse. C'est trop facile. Avant, je ne les intéressais pas, et maintenant que je joue la Ligue des champions, ça y est. Je suis le même joueur ! » Un joueur moqué par l'Italie du football et qui ne devait être qu'un intérimaire dans le chantier de reconstruction de l'AS Monaco. Un homme aussi solide dans sa tête que sur le terrain, en somme.
    « Il a été médiocre chez nous, je ne suis pas prêt de l'oublier »

    On ne dirait pas, comme ça, mais à une époque, comme Thiago Silva, Andrea Raggi a coûté une certaine somme d'argent. Et pas à n'importe qui. Nous sommes en 2007 et l'homme de La Spezia, sorti de la pépinière de l'Empoli, participe à l'Euro Espoirs. À cette occasion, il côtoie Chiellini, Rossi, Criscito ou encore Montolivo. Des gens qui semblent d'un autre monde. Un gratin mondain aujourd'hui à des années-lumière de cet ouvrier du football, mais pas à cette époque. Auteur de trois bonnes saisons en Serie A sous les couleurs de son club formateur, Raggi a sa petite cote de popularité. Au crépuscule de la saison 2007-2008, il intéresse Walter Sabatini, aujourd'hui salué pour son travail à l'AS Roma et alors en poste du côté de Palerme. Le club sicilien s'attache les services du chauve pour 7 millions d'euros. C'est le début de la fin. Interviewé par le Corriere di Romagna, l'hyperprésident palermitain, Maurizio Zamparini, ne s'en remet toujours pas : « Il a été médiocre chez nous, je ne suis pas près d'oublier cet investissement. Et le pire, c'est que je l'ai prêté pendant deux ans en payant son salaire. Maintenant, v'là qu'il joue avec Falcao. Le football est étrange. » Sur l'île, Raggi ne jouera que deux rencontres. Balourdé à la Sampdoria ou encore à Bari, c'est à Bologne qu'il tire véritablement son épingle du jeu avec 31 parties disputées en 2009/2010. Un exercice pas assez solide pour un rachat immédiat, mais suffisamment convaincant pour qu'il quitte la Sicile pour l'Émilie-Romagne en 2011 pour un montant de 200 000€. Une moins-value qui frise l'insolence et qui file au cardiologue de Zamparini un problème en plus. Le défenseur, lui, souffre. Malgré une nouvelle saison à plus de trente matchs, ses prestations, sans histoire, ne lui offrent aucune perspective. À défaut d'être prophète, Andrea l'ouvrier se dit alors qu'il se verrait bien faire ses trois 8 ailleurs. En l'occurrence à Monaco, pour 1,2 million d'euros annuel (contre 230 000 euros précédemment), ce qui ne gâche rien.
    Le symbole du projet avorté de l'ASM

    « Quand j'ai signé ici, en Ligue 2, c'était avec l'ambition d'en arriver là. » Interviewé par L'Équipe en marge du « choc » face à Paris pour le compte de la neuvième journée de Ligue 1, Raggi se la joue Mme Irma. Arrivé sur le Rocher en 2012, en Ligue 2, il fait partie de ces joueurs « en mission ». Oui, malgré ses dons de divination confiés au quotidien sportif, l'Italien fait partie de ces joueurs censés aider l'AS Monaco dans cette période de transition. Concrètement, avec son projet de l'époque, Rybolovlev se voyait bien monter en Ligue 1 avec Raggi, mais il ne s'imaginait certainement pas disputer la Ligue des champions avec un Andrea titulaire en défense centrale. La vérité, c'est que pour la première fois de sa carrière, l'ancien de l'Empoli est au bon endroit au bon moment. Au moins sur le plan personnel. Abdennour en difficulté, Monaco loin de la constellation d'étoiles qu'il devait être, Raggi le besogneux se retrouve à enchaîner les matchs depuis trois saisons. D'abord au poste de latéral droit sous Ranieri, puis en défense centrale avec Leonardo Jardim. Irréprochable dans l'engagement depuis la saison de l'ASM dans l'antichambre de l'élite, Andrea incarne la tournure prise par le projet monégasque. Il n'est pas sexy, ne donne pas toujours satisfaction, n'est pas très reconnu à l'étranger, mais il se démerde. Dur sur l'homme, ce guerrier dans l'âme, fan de Giorgio Chiellini, « pas beau à voir, mais terriblement efficace », est plutôt du genre franc. « En Italie, si tu ne lèches pas les pieds des journalistes, tu n'es pas bien vu. Je ne veux pas de ça. » En Italie, longtemps, on n'a pas voulu de lui. Gageons qu'à défaut de faire l'unanimité en France, Andrea le besogneux saura savourer le goût au feu de bois d'une partie de Ligue des champions. Avant de remonter dans le camion de l'anonymat et de la banalité.
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  6. #176
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    Je ne savais pas qu'il était tricard dans son pays et qu'il avait fait l'objet d'une moins-value record.

    Ce n'est pas un grand défenseur, mais il reste fiable et compense par un engagement de tous les instants. On a toujours besoin d'un type comme ça, qui se bat comme un chien, qui se donne toujours à fond et qui ne fait pas d'histoires. A la Diego Perez.
    Carvalho est de la même veine, avec bien sûr plus de classe et un niveau bien plus élevé à son apogée.

    Raggi c'est le super-sub. Le type qui peut sortir du banc à tout moment, le couteau entre les ents pour saisir sa chance et s'imposer durablement en défense, dans l'axe comme sur un côté.

    Ce qui a fait notre force l'année dernière, c'est un joueur de ce type dans chaque ligne: Raggi, Obbadi, Rivière. Quand on a sur le banc des joueurs de bon niveau et avec un tel état d'esprit, c'est l'assurance de pouvoir s'adapter en cas de coup dur.

  7. #177
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    Raggi supersub, ok. Mais aujourd'hui, il est titulaire indiscutable dans l'esprit de Jardim. Et il nous en coûte, car hier son duo avec Suba a été à l'origine directe ou indirecte d'un nombre très élevé de pertes de balle. J'exclus à dessein Ricky de ce constat, car notre Papy est très fiable balle au pied et ne partage pas la tendance de l'Italien à remettre au gardien sans que ce soit ultra-nécessaire.

    Certes cette défense prend peu de buts, avec la réussite que l'on sait. Mais en étant à son niveau, je pense qu' Abdennour est plus fort que Raggi, tant défensivement que dans la relance. Il faut pas attendre que nos DC se blessent ou se crament pour remettre dans le circuit le Tunisien, d'autant plus qu'on a investi sur lui.

    Un jour j'arracherai l'ancre qui tient mon navire loin des mers

  8. #178
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    Aujourd'hui si tu me donnes à choisir entre Raggi et Abdenour, je prends Raggi.
    Si Abdenour veut lui piquer la place, faudra qu'il se bouge, c'est comme ça.
    La valeur d'un joueur ne dépend pas toujours du prix qu'on l'a payé.

    Lorsqu'il faut faire la feuille de match aujourd'hui tu coches d'abord quatres noms :
    Toule, Ricky, Raggi et Kurzawa. Aucun des autres n'a le statut de titulaire indiscutable.

  9. #179
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    Citation Envoyé par asm2005 Voir le message
    Aujourd'hui si tu me donnes à choisir entre Raggi et Abdenour, je prends Raggi.

    Évidemment ! Entre un mec qui joue en assurant à peu près, et un autre qui a été médiocre en début de saison avant de se blesser, qui choisirait le second ?

    Mais le mot le plus important dans ta phrase, c'est "aujourd'hui". Raggi est le meilleur choix aujourd'hui, et peut-être demain, à court terme... Sauf que la gestion d'un groupe, c'est aussi d'anticiper les prochaines échéances pendant une saison où l'on joue souvent tous les 3 jours, et donc de ne pas faire indéfiniment jouer les mêmes, sous risque, par exemple, que notre leader d'attaque se blesse 2 fois en 2 matches. La gestion d'un groupe, cela implique de ne pas simplement se contenter d'une défense centrale qui marche à peu près, mais aussi de chercher à améliorer ce qui est perfectible, et ce qui handicape notre jeu et donc in fine nos résultats. La gestion d'un groupe, c'est parfois tout simplement de redonner une chance à ceux qui ont été mis sur la touche à un moment, mais qui ont un peu payé pour toute l'équipe qui n'était pas prête à ce moment-là. Alors, je dis merci à Raggi pour ce qu'il nous apporte depuis son arrivée, et je l'ai souvent défendu en L2, mais aujourd'hui nous jouons la Champions et il ne faudrait pas que le Pirate soit le maître incontesté du navire.

    Un jour j'arracherai l'ancre qui tient mon navire loin des mers

  10. #180
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    Citation Envoyé par Gallarno Voir le message
    Évidemment ! Entre un mec qui joue en assurant à peu près, et un autre qui a été médiocre en début de saison avant de se blesser, qui choisirait le second ?

    Mais le mot le plus important dans ta phrase, c'est "aujourd'hui". Raggi est le meilleur choix aujourd'hui, et peut-être demain, à court terme... Sauf que la gestion d'un groupe, c'est aussi d'anticiper les prochaines échéances pendant une saison où l'on joue souvent tous les 3 jours, et donc de ne pas faire indéfiniment jouer les mêmes, sous risque, par exemple, que notre leader d'attaque se blesse 2 fois en 2 matches. La gestion d'un groupe, cela implique de ne pas simplement se contenter d'une défense centrale qui marche à peu près, mais aussi de chercher à améliorer ce qui est perfectible, et ce qui handicape notre jeu et donc in fine nos résultats. La gestion d'un groupe, c'est parfois tout simplement de redonner une chance à ceux qui ont été mis sur la touche à un moment, mais qui ont un peu payé pour toute l'équipe qui n'était pas prête à ce moment-là. Alors, je dis merci à Raggi pour ce qu'il nous apporte depuis son arrivée, et je l'ai souvent défendu en L2, mais aujourd'hui nous jouons la Champions et il ne faudrait pas que le Pirate soit le maître incontesté du navire.
    Le problème c'est que l'équilibre de notre équipe reste instable. Si tant est qu'il y ait réellement un équilibre d'ailleurs

    Ça semble donc compliqué dans les prochains matchs (sauf à en prendre 3 ou 4 à Bastia) de changer ce qui a apporté un peu de garanties ces derniers temps.
    Il y a bien suffisamment de chantiers à attaquer avant de changer la défense centrale qui tient plutôt bien le coup. C'est dommage pour Abdennour qui est un bon joueur. Mais il n'y a que 11 joueurs sur le terrain. Il semble aujourd'hui condamné à attendre qu'un de ses concurrents soit suspendu ou se blesse.

    Assez d'accord avec asm2005 sur les hommes forts du moment. On pourrait presque ajouter YFC qui, selon moi, apporte plus que les autres à son poste.
    Au revoir mon club... Re-bonjour ?

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