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Discussion: [Revue de presse]

  1. #2451
    Avatar de Tarô
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    Nankatsu
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    Pour arrêter de manger la feuille de match il faudrait un olivier gire houx
    Repeat, Repeat, Repeat.

  2. #2452
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    Moselle
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    L'équipe est en ce moment comme la jambe de Jovetic : un peu pliée !
    Au revoir mon club... Re-bonjour ?

  3. #2453
    Favori des médias Avatar de frãzinho
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    Marseillan (34)
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    J'ai dû revenir sur la page précédente pour comprendre vos posts


  4. #2454
    Avatar de Sheik
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    Reims
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    En effet, du liquidambar cet en chêne ment de posts, ça vaut palmier d'or!
    "La férocité humaine dépasse celle de la nature" (Jules Verne)

    Fournisseur officiel du Vizu en café

  5. #2455
    Modo FVPA Avatar de Bartman
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    Dans un village perdu resistant encore et toujours à l'envahisseur américain!!!
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    Francis Aulne ou Gui George sur le banc, ça aurait plus de charme non ?
    « Gauche » et « droite », termes normalement transparents d’un débat devenu d’une parfaite confusion depuis que ce qu’on tenait pour une réalisation de la « gauche » (le Parti socialiste) est devenu de droite. F. Lordon.

  6. #2456
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    Moselle
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    Citation Envoyé par Bartman Voir le message
    Francis Aulne ou Gui George sur le banc, ça aurait plus de charme non ?
    Je miserais plutôt sur Michel Sapin moi Ou Jean-Marie Le Pin
    Au revoir mon club... Re-bonjour ?

  7. #2457
    10 000 fans Facebook Avatar de Raiden
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    oisif, dans l'oise!
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    Les blagues les plus courtes sont les meilleurs.


    Pas comme autre chose....

  8. #2458
    Star internationale Avatar de Maradona
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    Une âme charitable pour débloquer l'article de L'Equipe du jour?

    Main de fer sur le Rocher.

  9. #2459
    Coupe les citrons
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    Antibes
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    Monaco : climat pesant sur le terrain comme en dehors

    Publié le samedi 11 mai 2019 à 00:00 | Mis à jour le 11/05/2019 à 01:01
    Le climat est pesant à Monaco, où la crainte d'une relégation en L2 est alourdie par une restructuration menée par le propriétaire russe Dimitri Rybolovlev.

    Régis Testelin, à Monaco

    Partager sur Facebook Tweeter Dimanche, au stade Louis-II, Dimitri Rybolovlev et le prince Albert II ont assisté ensemble à la défaite de l'AS Monaco contre Saint-Étienne (2-3). Comment interpréter ce rapprochement entre le propriétaire du club et le souverain monégasque ? Comment s'est restructuré l'ASM après le départ du vice-président Vadim Vasilyev, le 14 février ? Et comment ses salariés vivent-ils cette fin de saison sur un fil, au moment où l'équipe sera encore en danger, ce samedi soir, à Nîmes ?
    Une nécessité : l'union sacrée

    Rybolovlev (52 ans) et le prince (61 ans) n'avaient pas été vus ensemble à un match depuis un déplacement à Bruges, le 24 octobre, en Ligue des champions (1-1). Deux semaines plus tard, «Rybo» était inculpé pour corruption et trafic d'influence, dans l'affaire dite du «Monacogate», et il n'était plus question pour le souverain d'apparaître à ses côtés. Le 16 novembre, dans un entretien accordé à Mediapart, ce dernier ne l'avait pas ménagé. «Il y a des soupçons d'une certaine influence, avait estimé le prince. Si c'est avéré, je pense qu'il se retirera de lui-même. Il est déjà en retrait par rapport à la marche du club. Il est de moins en moins présent en Principauté depuis quelque temps déjà. Pour l'instant, il faut respecter la présomption d'innocence, à moins que lui-même décide de mettre fin à sa présidence de l'AS Monaco.»
    L'actualité judiciaire est moins pressante et l'urgence est au maintien en L1. Les deux hommes ont chacun besoin de l'autre, le message envoyé à la foule est à l'union sacrée et cela commence dans la loge, en dépit des divergences de vues. La dernière date du départ de Vasilyev, l'ancien vice-président, remercié pour des raisons toujours floues, alors que le prince aurait aimé qu'il reste. Avait-il pris trop de place à l'ASM, au point d'être perçu comme le taulier ? A-t-il tout simplement payé la succession d'erreurs de recrutement de l'été 2018 et les résultats désastreux ? Rybolovlev a-t-il redouté que la proximité entre son bras droit et le Palais se retourne contre lui ? Au point de se faire «doubler» ? En février, le prince a tout tenté pour convaincre «Rybo» de garder Vasilyev, au moins jusqu'à la fin de la saison. Mais le Russe est resté inflexible, déterminé à reprendre la main et à reconstruire un cercle autour de lui.
    Une priorité : le «nettoyage»

    Opéré en début d'année, le remaniement de l'organigramme de l'ASM se poursuit. Après les départs de l'entraîneur Thierry Henry et de son staff, de Franck Passi, son ancien adjoint, de Vasilyev, de Bruno Skropeta, ancien directeur général adjoint, ou de Yannick Menu, ancien adjoint du directeur sportif (Michaël Emenalo), c'est Manuel Pires, nommé directeur du centre de formation en juin 2018, qui a été viré en avril. Ce limogeage a alourdi un peu plus l'atmosphère qui règne au club, où chacun regarde son voisin en se demandant s'il n'est pas le prochain. Parfois décrite comme paranoïaque, cette ambiance favorise le repli sur soi et la peur de l'autre.
    Vers un retour de Bertrand Reuzeau ?

    Les prochains à sauter ? Si les indemnités de départ de l'entraîneur Leonardo Jardim (en octobre) et de Henry, en janvier, ne lui avaient pas coûté environ 16 M €, Rybolovlev aurait déjà remercié Emenalo, dont le travail a déçu quasiment tout le club. Il est toujours là et son remplacement n'est pas prévu. Médecin de formation, Rybolovlev n'a pas aimé la vague de blessures qui a touché l'équipe sous l'ère Thierry Henry (jusqu'à dix-sept joueurs indisponibles) et le département médical, dirigé par le docteur Kuentz, serait dans sa mire.
    Jardim joue la stabilité

    Dix-septièmes, les joueurs de la Principauté ont réappris cette semaine à vivre avec la pression. Et les blessures sont elles aussi réapparues avec les mauvais résultats. Touché à la cuisse gauche contre Saint-Étienne (2-3, dimanche dernier), le gardien Danijel Subasic a fini sa saison, mais Diego Benaglio est au moins rétabli et le numéro 2 peut assurer l'intérim ce soir à Nîmes. Il devrait s'agir du seul changement par rapport à l'équipe qui s'est inclinée face aux Verts, car Leonardo Jardim n'entend pas tout bouleverser.
    «Ce n'est pas le moment de faire des paris. Je reste optimiste car les soixante premières minutes du dernier match ont été bonnes, juge l'entraîneur, encore privé de Fabregas. Je n'ai pas un choix très important mais ce groupe est capable de faire le job. Les joueurs sont chaque jour plus conscients de la situation.» Ils ont aussi été sensibilisés cette semaine à l'intensité dans les duels qui les attend à Nîmes et les cadres ont rappelé aux plus jeunes que rien ne serait facile. Mais plus personne ne peut en douter.
    Depuis le départ de Vasilyev, «Rybo» a constitué un noyau dur, exclusivement russe. Il ne fait pas facilement confiance et encore moins à ceux dont il ne parle pas la langue. Sa garde rapprochée ? Oleg Petrov, le successeur de Vasilyev, et Olga Dementieva, une proche de longue date, nommée «directrice sportive adjointe» en février. Son rôle serait surtout de remonter à la présidence les infos sur la vie du club et des gens.
    Un chantier : les 74 contrats pros

    Novice en matière de football mais homme d'affaires avisé, Petrov connaît une formation accélérée. Il a été chargé par le boss du dégraissage des 74 contrats de joueurs pros. Une mission qu'il débutera une fois le maintien acquis car tout est bloqué, départs et arrivées. Jugé humain et chaleureux, en interne, Petrov se sentirait capable de ne pas vendre à perte la meute de joueurs inactifs et bien payés qui devront quitter l'ASM. L'aide d'agents influents, la plate-forme du Cercle de Bruges, propriété de l'ASM, et l'ouverture des marchés exotiques, lui seront précieuses pour mener ce chantier. C'est aussi lui qui nommera le futur directeur du centre de formation, un poste pour lequel les profils sont rares. Et Jardim ?
    Leonardo Jardim : «Une guerre qui va durer jusqu'à la fin»

    Son pouvoir décisionnaire sur le sportif n'est pas remis en cause, en dépit de son impuissance à enrayer la chute de l'équipe, depuis la fin mars. Obsédé par le maintien, le coach portugais n'a pas la tête à la restructuration du club et de l'équipe et donne actuellement le sentiment d'être éloigné des centres de décision. C'est provisoire. Lorsque l'ASM sera maintenue, il est toujours prévu qu'il valide les grandes lignes de l'effectif de la saison prochaine. Comme l'arrivée des recrues phares. «Rybo» lui ferait encore confiance et ils sont de moins en moins nombreux à avoir cette «chance».

  10. #2460
    Avatar de giancarlo
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    Monaco : climat pesant sur le terrain comme en dehors
    Le 11/05/2019, mis à jour le 11/05/2019 à 01:01
    Régis Testelin, à Monaco
    Le climat est pesant à Monaco, où la crainte d'une relégation en L2 est alourdie par une restructuration menée par le propriétaire russe Dimitri Rybolovlev.
    Dimanche, au stade Louis-II, Dimitri Rybolovlev et le prince Albert II ont assisté ensemble à la défaite de l'AS Monaco contre Saint-Étienne (2-3). Comment interpréter ce rapprochement entre le propriétaire du club et le souverain monégasque ? Comment s'est restructuré l'ASM après le départ du vice-président Vadim Vasilyev, le 14 février ? Et comment ses salariés vivent-ils cette fin de saison sur un fil, au moment où l'équipe sera encore en danger, ce samedi soir, à Nîmes ?

    Une nécessité : l'union sacrée
    Rybolovlev (52 ans) et le prince (61 ans) n'avaient pas été vus ensemble à un match depuis un déplacement à Bruges, le 24 octobre, en Ligue des champions (1-1). Deux semaines plus tard, «Rybo» était inculpé pour corruption et trafic d'influence, dans l'affaire dite du «Monacogate», et il n'était plus question pour le souverain d'apparaître à ses côtés. Le 16 novembre, dans un entretien accordé à Mediapart, ce dernier ne l'avait pas ménagé. «Il y a des soupçons d'une certaine influence, avait estimé le prince. Si c'est avéré, je pense qu'il se retirera de lui-même. Il est déjà en retrait par rapport à la marche du club. Il est de moins en moins présent en Principauté depuis quelque temps déjà. Pour l'instant, il faut respecter la présomption d'innocence, à moins que lui-même décide de mettre fin à sa présidence de l'AS Monaco.»


    L'actualité judiciaire est moins pressante et l'urgence est au maintien en L1. Les deux hommes ont chacun besoin de l'autre, le message envoyé à la foule est à l'union sacrée et cela commence dans la loge, en dépit des divergences de vues. La dernière date du départ de Vasilyev, l'ancien vice-président, remercié pour des raisons toujours floues, alors que le prince aurait aimé qu'il reste. Avait-il pris trop de place à l'ASM, au point d'être perçu comme le taulier ? A-t-il tout simplement payé la succession d'erreurs de recrutement de l'été 2018 et les résultats désastreux ? Rybolovlev a-t-il redouté que la proximité entre son bras droit et le Palais se retourne contre lui ? Au point de se faire «doubler» ? En février, le prince a tout tenté pour convaincre «Rybo» de garder Vasilyev, au moins jusqu'à la fin de la saison. Mais le Russe est resté inflexible, déterminé à reprendre la main et à reconstruire un cercle autour de lui.

    Une priorité : le «nettoyage»
    Opéré en début d'année, le remaniement de l'organigramme de l'ASM se poursuit. Après les départs de l'entraîneur Thierry Henry et de son staff, de Franck Passi, son ancien adjoint, de Vasilyev, de Bruno Skropeta, ancien directeur général adjoint, ou de Yannick Menu, ancien adjoint du directeur sportif (Michaël Emenalo), c'est Manuel Pires, nommé directeur du centre de formation en juin 2018, qui a été viré en avril. Ce limogeage a alourdi un peu plus l'atmosphère qui règne au club, où chacun regarde son voisin en se demandant s'il n'est pas le prochain. Parfois décrite comme paranoïaque, cette ambiance favorise le repli sur soi et la peur de l'autre.

    Vers un retour de Bertrand Reuzeau ?

    Les prochains à sauter ? Si les indemnités de départ de l'entraîneur Leonardo Jardim (en octobre) et de Henry, en janvier, ne lui avaient pas coûté environ 16 M €, Rybolovlev aurait déjà remercié Emenalo, dont le travail a déçu quasiment tout le club. Il est toujours là et son remplacement n'est pas prévu. Médecin de formation, Rybolovlev n'a pas aimé la vague de blessures qui a touché l'équipe sous l'ère Thierry Henry (jusqu'à dix-sept joueurs indisponibles) et le département médical, dirigé par le docteur Kuentz, serait dans sa mire.

    Jardim joue la stabilité
    Dix-septièmes, les joueurs de la Principauté ont réappris cette semaine à vivre avec la pression. Et les blessures sont elles aussi réapparues avec les mauvais résultats. Touché à la cuisse gauche contre Saint-Étienne (2-3, dimanche dernier), le gardien Danijel Subasic a fini sa saison, mais Diego Benaglio est au moins rétabli et le numéro 2 peut assurer l'intérim ce soir à Nîmes. Il devrait s'agir du seul changement par rapport à l'équipe qui s'est inclinée face aux Verts, car Leonardo Jardim n'entend pas tout bouleverser.
    «Ce n'est pas le moment de faire des paris. Je reste optimiste car les soixante premières minutes du dernier match ont été bonnes, juge l'entraîneur, encore privé de Fabregas. Je n'ai pas un choix très important mais ce groupe est capable de faire le job. Les joueurs sont chaque jour plus conscients de la situation.» Ils ont aussi été sensibilisés cette semaine à l'intensité dans les duels qui les attend à Nîmes et les cadres ont rappelé aux plus jeunes que rien ne serait facile. Mais plus personne ne peut en douter.
    Depuis le départ de Vasilyev, «Rybo» a constitué un noyau dur, exclusivement russe. Il ne fait pas facilement confiance et encore moins à ceux dont il ne parle pas la langue. Sa garde rapprochée ? Oleg Petrov, le successeur de Vasilyev, et Olga Dementieva, une proche de longue date, nommée «directrice sportive adjointe» en février. Son rôle serait surtout de remonter à la présidence les infos sur la vie du club et des gens.

    Un chantier : les 74 contrats pros
    Novice en matière de football mais homme d'affaires avisé, Petrov connaît une formation accélérée. Il a été chargé par le boss du dégraissage des 74 contrats de joueurs pros. Une mission qu'il débutera une fois le maintien acquis car tout est bloqué, départs et arrivées. Jugé humain et chaleureux, en interne, Petrov se sentirait capable de ne pas vendre à perte la meute de joueurs inactifs et bien payés qui devront quitter l'ASM. L'aide d'agents influents, la plate-forme du Cercle de Bruges, propriété de l'ASM, et l'ouverture des marchés exotiques, lui seront précieuses pour mener ce chantier. C'est aussi lui qui nommera le futur directeur du centre de formation, un poste pour lequel les profils sont rares. Et Jardim ?

    Leonardo Jardim : «Une guerre qui va durer jusqu'à la fin»

    Son pouvoir décisionnaire sur le sportif n'est pas remis en cause, en dépit de son impuissance à enrayer la chute de l'équipe, depuis la fin mars. Obsédé par le maintien, le coach portugais n'a pas la tête à la restructuration du club et de l'équipe et donne actuellement le sentiment d'être éloigné des centres de décision. C'est provisoire. Lorsque l'ASM sera maintenue, il est toujours prévu qu'il valide les grandes lignes de l'effectif de la saison prochaine. Comme l'arrivée des recrues phares. «Rybo» lui ferait encore confiance et ils sont de moins en moins nombreux à avoir cette «chance».
    Faut pas se laisser gagner par l'euphorie de croire que l'on est un homme important Louise Attaque

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